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Retour en images sur la première édition du Global Positive Forum !

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retour_global_positive_forum_epita_projets_estimeo_start-up_laboratoire_3ie_ephedra_vr_pepper_quantifly_igem_ionis_innovation_evenement_04.jpgAvec plus de 2 000 visiteurs rassemblés à la Seine Musicale, la première édition du Global Positive Forum n'a pas manqué de faire parler d'elle ce vendredi 1er septembre 2017. Organisé sous le haut patronage d'Emmanuel Macron, président de la République, cet événement consacré aux innovations positives de tous secteurs a également su attirer l'attention de plusieurs médias (BFM, Europe 1, RFI, Melty, Konbini...) et de nombreuses personnalités de premier plan, parmi lesquelles Bruno Lemaire, ministre de l'Économie et des Finances. Accompagné de Jacques Attali, président de la Fondation Positive Planet et initiateur du forum, ce dernier a profité de sa venue pour rencontrer les étudiants et Anciens des écoles du Groupe IONIS, réunis pour présenter une dizaine de projets porteurs de changement.


Lors du Global Positive Forum, les couleurs de l'EPITA étaient portées par Adrien Fenech (EPITA promo 2016, Majeure MTI), qui présentait sa start-up Estimeo à l'origine d'une plateforme de notation et d'information dédiée à l'innovation et à destination des porteurs de projets, ainsi que par l'Institut d'Innovation Informatique de l'EPITA (3ie). Ce dernier y dévoilait Ephedra VR, un serious game en réalité virtuelle destiné aux étudiants en école de médecine, et le robot Pepper, actuellement au centre de plusieurs travaux portés par des chercheurs du laboratoire, notamment l'assistance robotisée à la détection de troubles de la mémoire.



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Adrien Fenech, cofondateur et CTO d'Estimeo

retour_global_positive_forum_epita_projets_estimeo_start-up_laboratoire_3ie_ephedra_vr_pepper_quantifly_igem_ionis_innovation_evenement_02.jpgL'équipe travaillant sur Pepper a aussi attiré l'attention de Melty

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L'équipe d'Ephedra VR en pleine démonstration auprès de Bruno Lemaire

Membre de l'équipe IGEM IONIS 2016 aux côtés d'étudiants de l'EPITA, de l'IPSA, d'Epitech, de Sup'Biotech et d'e-artsup, Alexandre Dollet (Ionis-STM promo 2017) était également là pour présenter Quantifly, le drone anti-pollution qui avait permis à sa formation de remporter une médaille d'or lors de l'International Genetically Engineered Machine competition (iGEM). À cette occasion, il a pu répondre favorablement aux sollicitations des journalistes et notamment ceux de RFI : réécoutez dès à présent son intervention (ainsi que celles des représentants de la start-up Railz et du projet de fusée HighDr'O) sur le site de la radio (début du reportage à 12 min 43).

retour_global_positive_forum_epita_projets_estimeo_start-up_laboratoire_3ie_ephedra_vr_pepper_quantifly_igem_ionis_innovation_evenement_06.jpgAlexandre Dollet devant les caméras

retour_global_positive_forum_epita_projets_estimeo_start-up_laboratoire_3ie_ephedra_vr_pepper_quantifly_igem_ionis_innovation_evenement_05.jpgretour_global_positive_forum_epita_projets_estimeo_start-up_laboratoire_3ie_ephedra_vr_pepper_quantifly_igem_ionis_innovation_evenement_07.jpgglobal_positive_forum_edition_2017_paris_seine_musicale_evenement_septembre_ecoles_groupe_ionis_epita_03.jpg


Aidez l'équipe iGEM IONIS 2017 à défendre son projet pensé pour sauver les viticulteurs !

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Fin août, l'EPITA vous présentait Softer Shock, l'ambitieux projet de sauvegarde des vignobles de l'équipe iGEM IONIS 2017 destiné à être présenté lors de la grande finale de l'International Genetically Engineered Machine competition (iGEM), soit LE principal concours étudiant dédié à la biologie synthétique et ouvert à tous pays. Cette finale, prévue du 9 au 13 novembre, se déroulera à Boston et permettra à l'ensemble des équipes finalistes de dévoiler l'avancée de leurs recherches dans l'enceinte prestigieuse du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ! Mais le chemin permettant de se rendre dans ce haut-lieu de la connaissance est encore long : aujourd'hui, l'équipe iGEM IONIS a plus que jamais besoin de vous pour réaliser son rêve et espérer décrocher une médaille d'or comme ses glorieux prédécesseurs !

Pour cela, rien de plus simple ! Il vous suffit de vous rendre sur la page KickStarter lancée par cette équipe composée d'étudiants de l'EPITA, de Sup'Biotech et d'e-artsup ! Leur objectif ? Réussir à réunir 2 500 euros afin de finaliser les recherches sur Softer Shock et permettre à l'ensemble de l'équipe de le défendre à Boston en novembre prochain. N'hésitez pas non plus à partager cette campagne de financement sur les réseaux sociaux : tout soutien est bon à prendre.

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Envie d'en savoir plus sur Softer Shock ? Retrouvez l'article dédié à la présentation du projet.

Suivez et soutenez l'équipe iGEM IONIS 2017 sur Facebook, Twitter et YouTube.

Retrouvez également l'interview radio donnée par l'équipe lors de l'émission « Le Téléphone Sonne » de France Inter du mardi 15 août 2017 !

Semaine R&I 2017 : une conférence et une table-ronde dédiées à l'économie de l'innovation, le jeudi 14 septembre à l'EPITA Paris

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Après les interventions de Philippe Bournhonesque, CTO d'IBM France et Emmanuel Bavière, Global Head of Innovation Center à la Société Générale, la Semaine de la Recherche et de l'Innovation 2017 de l'EPITA conclura son cycle de conférences ouvertes au public avec deux événements le jeudi 14 septembre sur le Campus Paris Kremlin-Bicêtre de l'école pour aborder l'économie de l'innovation. Il y aura d'abord une intervention d'Eytan Herzberg, responsable de Keyrus Innovation Factory France de 10 h à 11 h, sur comment faire le pont entre les startups et les grandes entreprises, puis une table-ronde de 11 h 15 à 12 h 30, autour du rôle décisif de l'innovation dans l'évolution de l'économie et des sociétés. Lors de cette dernière, trois experts seront réunis : David Cohen Boulakia, directeur de l'innovation PwC France et Afrique Francophone, Géraldine Gion, responsable des nouveaux métiers chez Nexity et Lionel Laské, directeur de l'innovation chez C2S - Groupe Bouygues et responsable du SPOT Bouygues.

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Eytan Herzberg

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De gauche à droite : David Cohen Boulakia, Géraldine Gion et Lionel Laské

La Semaine de la Recherche et de l'Innovation 2017, journée spéciale économie de l'innovation
Le jeudi 14 septembre de 10 h à 12 h 30 au Campus Paris Kremlin-Bicêtre
14-16 rue Voltaire
94276 Le Kremlin-Bicêtre

Accès :
Entrée parking - 24 rue Pasteur
Métro 7 (arrêt Le Kremlin-Bicêtre ou Porte d'Italie)

Événements ouverts à tous dans la limite des places disponibles.
Inscrivez-vous par email en indiquant vos nom, prénom et profession à Cyriane Girouard, chargée de communication de l'EPITA, via cyriane.girouard@epita.fr

Olympiades Européennes Junior d'Informatique : deux médailles pour l'équipe de France !

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retour_european_junior_olimpiad_informatics_ejoi_equipe_france_ioi_médailles_partenariat_epita_jeunes_concours_2017_01.jpgDeux mois après les Olympiades Internationales d'Informatique (IOI) qui ont permis à la France de ramener trois médailles d'Iran (dont deux d'argent), une autre compétition rassemblant de nombreux jeunes passionnés de programmation était organisée : les Olympiades Européennes Junior d'Informatique (eJOI). Concernant cette fois-ci les sélections junior composées de membres âgés de moins de 15 ans, cette toute première édition des eJOI prenait place à Sofia en Bulgarie du 7 au 13 septembre 2017.

retour_european_junior_olimpiad_informatics_ejoi_equipe_france_ioi_médailles_partenariat_epita_jeunes_concours_2017_04.jpgRéunis pour défendre les couleurs de la France et encadrés par l'association France-ioi, Erwin Deng, Yaël Dillies, Vincent Jules et Grégoire Le Corre ont loin d'avoir démérité, se permettant même de repartir avec deux médailles de bronze, remportées par Erwin et Grégoire ! « C'est un très bon résultat, juge Mathias Hiron, président de l'association France-ioi. D'autant qu'Erwin est passé très près de la médaille d'argent et que le niveau de difficulté des sujets était nettement plus élevé que ce que nous avions imaginé pour un concours destiné aux moins de 15 ans ! » Une belle performance qui devrait en appeler d'autres selon Mathias, plus que confiant. « La deuxième édition se déroulera en Russie, donc nous ferons probablement la sélection en même temps que celle de l'équipe des IOI, vers les vacances de Pâques. Grégoire et Jules sont d'ailleurs encore éligibles car nés après le 31 décembre 2002 ! » Affaire à suivre donc. En attendant, l'EPITA félicite chaleureusement cette sélection plus que méritante !

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De gauche à droite : Amaury Pouly (entraîneur), les quatre membres de l'équipe de France junior (Grégoire Le Corre, Vincent Jules, Erwin Deng et Yaël Dillies) et Benjamin Butin (entraîneur).

retour_european_junior_olimpiad_informatics_ejoi_equipe_france_ioi_médailles_partenariat_epita_jeunes_concours_2017_03.jpgGrégoire et Erwin, les deux médaillés français de cette première édition

13 conférences de la LSE Summer Week 2017 à revivre en vidéo

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Organisée au mois de juillet 2017, la nouvelle édition de la Summer Week du Laboratoire Sécurité et Système de l'EPITA (LSE) a encore une fois permis aux étudiants, chercheurs et professionnels présents de faire le plein de connaissances sur des sujets aussi divers que la blockchain ou le code sandboxing. Vous n'avez pas pu assister à cet événement ? Pas de problème : les équipes du LSE ont pensé à vous en s'alliant avec l'association GConfs de l'école pour filmer l'ensemble des 13 conférences !


À propos du LSE :
Créé en 1999, le Laboratoire Sécurité et Système de l'EPITA s'intéresse à des projets liés à la sécurité des systèmes d'exploitation, à l'architecture Kernel et aux systèmes informatiques. Il réunit une quinzaine de membres sélectionnés, parmi lesquels des ingénieurs, des experts et des étudiants de l'EPITA, recrutés en troisième année. Le laboratoire délivre également des cours sur ses domaines d'activité aux étudiants de l'école.

Retrouvez le LSE sur son site Internet, Facebook, Twitter et YouTube.

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Philippe Bournhonesque, CTO d'IBM France : « L'EPITA, une école de passionnés »

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Philippe Bournhonesque est venu lancer officiellement la Semaine R&I 2017 de l'EPITA

Pour lancer la nouvelle édition de sa Semaine de la Recherche et de l'Innovation, l'EPITA Paris a eu le privilège de recevoir Philippe Bournhonesque, Chief Technical Officer (CTO) d'IBM France, pour une grande conférence inaugurale tournée vers le futur de l'IT. L'occasion de poser quelques questions à cet expert reconnu suite à son intervention face aux étudiants de la promotion 2021 de l'école.

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Joël Courtois, le directeur général de l'EPITA, était présent pour accueillir le CTO d'IBM France

Pourquoi avoir accepté l'invitation de l'EPITA ?
Philippe Bournhonesque : En plus d'être une école d'informatique, l'EPITA est une école de passionnés. Et, chez IBM, nous aimons les passionnés : ce sont eux dont nous avons besoin pour le futur. D'où ma présence pour cette conférence qui avait pour thématique le futur de l'informatique avec deux axes, l'intelligence artificielle et l'informatique quantique, soit les deux grandes révolutions à venir dans notre industrie.

Venir à la rencontre de futurs ingénieurs vous tient-il à cœur ?
Oui, d'autant plus que le rôle de l'ingénieur évolue. À présent, il doit à la fois maîtriser les technologies - ce que l'EPITA apprend d'ailleurs à ses étudiants - et comprendre, dialoguer avec le métier. Ce qui nous intéresse à IBM, ce sont les gens capables de faire ces deux choses afin d'aider à changer et transformer les métiers de nos clients.

retour_conference_semaine_recherche_innovation_ouverture_2017_cto_ibm_france_epita_evolution_informatique_watson_03.jpgActuellement, l'un des projets les plus emblématiques d'IBM se nomme Watson et traite de l'intelligence artificielle. Pouvez-vous le décrire en quelques mots ?
Watson, c'est notre logiciel d'intelligence artificielle que l'on personnalise par métier. En entraînant un logiciel assistant l'humain pour reconnaître des IRM et détecter des maladies, on peut par exemple transformer le secteur de la santé. Cela est vrai pour ce secteur, mais aussi pour bien d'autres : la maintenance d'équipement industriel, la météorologie, etc. Grâce à cette technologie et cette capacité qu'a Watson à traiter des volumes gigantesques de données, on se dirige vers l'ère de l'homme augmenté.

Peut-on craindre à terme un remplacement de l'homme par la machine ?
Ce n'est pas notre vision. L'homme garde ses spécificités : la créativité, l'empathie, la création, la morale... Quant à la machine, elle a cette capacité à raisonner sur les données et à donner cette information synthétisée à l'homme qui, in fine, reste le seul décideur.

retour_conference_semaine_recherche_innovation_ouverture_2017_cto_ibm_france_epita_evolution_informatique_watson_05.jpgretour_conference_semaine_recherche_innovation_ouverture_2017_cto_ibm_france_epita_evolution_informatique_watson_02.jpg

Semaine de la recherche et de l'innovation 2017 : l'EPITA à l'écoute des experts

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Du lundi 11 au vendredi 15 septembre 2017, la nouvelle édition de la Semaine de la recherche et de l'innovation de l'EPITA conviait de nombreux professionnels de renom sur le Campus Paris Kremlin-Bicêtre de l'école. L'occasion pour les futurs ingénieurs (et le grand public également convié lors d'événements spéciaux) de faire le plein de connaissances à travers de multiples conférences et tables-rondes passionnantes abordant l'innovation sous des angles aussi divers que la technologie pure, le management, les ressources humaines ou encore le marketing. Retour en images sur ce premier rendez-vous marquant de l'année 2017-2018.

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Pour lancer cette grande semaine, l'EPITA a invité Philippe Bournhonesque, CTO d'IBM France



retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_05.jpgAutre conférence événement, celle d'Emmanuel Bavière, Global Head of Innovation Center et Technology Evangelist à la Société Générale

retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_03.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_01.jpgEytan Herzberg, responsable de Keyrus Innovation Factory France

retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_02.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_08.jpgLa table-ronde menée par Anne Dewilde (au centre), directrice de l'Institut d'Innovation Informatique de l'EPITA (3ie), en compagnie d'Anne-Lise Pierchon‏, Innovation Manager PwC France et Afrique francophone et de Lionel Laské, directeur de l'innovation chez C2S - Groupe Bouygues et responsable du SPOT Bouygues

retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_07.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_09.jpgGilles Dowek, chercheur à l'Inria et professeur attaché à l'ENS Paris-Saclay, a abordé la modélisation et la conception d'algorithmes en contrôle aérien

retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_11.jpgAntoine Danchin, président-fondateur et directeur scientifique d'AMAbiotics SAS, est venu parler des biotechnologies

Durant cette semaine, les laboratoires de recherche de l'école étaient aussi mobilisés pour de nombreuses conférences. Ci-dessous, les interventions d'Olivier Ricou, directeur du Laboratoire de Recherche et Développement de l'EPITA (LRDE), de Didier Verna, enseignant-chercheur au sein du LRDE, d'Anne Dewilde, ici accompagnée du robot Pepper, et des équipes de 3ie.

retour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_12.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_13.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_04.jpgretour_semaine_innovation_recherche_2017_etudiants_professionels_entreprises_conferences_evenement_epita_paris_10.jpg

Ils sont également intervenus lors de la Semaine de la recherche et de l'innovation 2017 :
Maximilien Colange, enseignant-chercheur rattaché au LRDE, Akim Demaille, Software Engineer chez Docker, Alexandre Duret-Lutz, enseignant-chercheur rattaché au LRDE, Robert Erra, directeur du Laboratoire Sécurité et Système de l'EPITA (LSE), Jonathan Fabrizio, enseignant-chercheur rattaché au LRDE, Pierre Lasvigne (EPITA promo 2010), CTO de Seraphin.legal, Arthur Querou (EPITA promo 2015), ‎cofondateur et CEO de Keymantics et l'équipe de « La météo des chantiers », l'application développée par Julien Baudic, Samy Benyoub, Benjamin Chambon et Nicolas Mateos (EPITA promo 2018) pour la Société du Grand Paris.

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L'EPITA vue par Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargé du Numérique

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Pour conclure l'édition 2017 d'une Semaine de la recherche et de l'innovation riche en conférences passionnantes, l'EPITA a eu le plaisir de pouvoir compter sur la présence d'un invité de marque en la personne de Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargé du Numérique. L'occasion pour le représentant de l'État de rappeler aux futurs ingénieurs de l'école toute la confiance que la France leur porte afin d'imaginer le monde de demain.

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Mounir Mahjoubi

Mounir Mahjoubi : « Si j'ai accepté l'invitation de l'EPITA, c'est surtout pour venir à la rencontre des étudiants. Ma vie professionnelle, je l'ai commencée à 16 ans, en tant que technicien réseau, un métier qui m'a passionné. Les étudiants de l'EPITA, eux, vont devenir dans quelques années ingénieurs - ils vont penser le monde qui arrive, être ceux qui inventeront de nouvelles choses et rendront possible ce qui avait été déjà imaginé par leurs prédécesseurs -, mais ils ne devront justement jamais oublier cet "esprit technicien", cette inventivité. C'est pourquoi ces moments d'accélération dans leur scolarité, qui leur permettent de mener des projets, sont extrêmement importants.
C'est d'ailleurs toute cette culture que j'essaye d'apporter au sein du gouvernement aujourd'hui : en adoptant toutes ces valeurs que l'on retrouve également à l'EPITA, nous allons transformer l'État numériquement, faire évoluer l'IT et rendre le service public plus accessible et rapide tout en le rendant moins coûteux et en augmentant la valeur qu'il peut créer.
Au final, si je dois donner un seul conseil aux étudiants de l'EPITA, ce serait de continuer à "faire du bruit", à parler, à rester curieux et à avancer car ils n'ont pas à "subir" la révolution numérique : ils sont là pour la créer et la dessiner par leur travail et leur réflexion ! Ils doivent surtout profiter de leurs années d'études pour commencer à faire ce qu'ils développeront en plus grand dans le futur. Et à chaque fois qu'ils seront amenés à penser et concevoir de nouveaux projets, ils devront se poser la question de pourquoi les faire et si ces innovations sont bien en adéquation avec leurs valeurs ».

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Mounir Mahjoubi en compagnie de Joël Courtois, le directeur général de l'EPITA

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L'EPITA était au lancement de Science Factor 2017/2018, le concours de projets innovants pour les collégien(ne)s et lycéen(ne)s

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science_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_01.jpgConçu par Global Contact, le concours Science Factor accompagne chaque année des collégien(ne)s et lycéen(ne)s dans leur découverte du monde des sciences et des technologies à travers la réalisation de projets innovants et citoyens. Partenaire du concours, l'EPITA était présente au ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation ce lundi 25 septembre 2017 pour lancer la 6e édition de cette initiative destinée à stimuler l'intérêt des jeunes pour les métiers scientifiques et techniques.

Animé par Claudine Schmuck, fondatrice et directrice associée de Global Contact, et marqué par la présence de Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, l'événement a permis de rappeler les chiffres clés de la dernière édition du concours (qui réunissait 38 projets pour 132 élèves participants issus de 10 régions de France), d'insister sur l'importance de la mixité au sein des équipes inscrites (Science Factor est le seul concours français à caractère technique et scientifique dans lequel s'implique une proportion égale de filles et de garçons) et d'annoncer l'ouverture officielle des candidatures pour cette nouvelle édition, avec une date limite fixée au 31 décembre 2017.

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Claudine Schmuck

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La ministre Frédérique Vidal

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Les vidéastes de YouTube Aypierre et Bill Silverlight (LanguageCraft FR et EN) étaient également présents

Cette manifestation a également permis de redécouvrir trois projets ayant brillé lors des éditions passées du concours : The People Connect, finaliste en 2017 et à l'origine d'une application luttant contre le gaspillage alimentaire dans les restaurants, Little Miss Sunshine, lauréat la même année et porteur d'un système facilitant la traversée des routes en toute sécurité pour les piétons, et Les Kids from LH, lauréat 2015 que l'association Synergie de l'EPITA a longtemps suivi pour la réalisation de son prototype de cantine intelligente.

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Les Kids from LH en compagnie de Joël Courtois et de la ministre

science_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_06.jpgL'équipe de Little Miss Sunshine, accompagné de Valérie Gaudart, Directrice Attractivité des Talents et Chef de cabinet RH chez ENGIE

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Une partie de l'équipe de The People Connect

L'EPITA accompagne à présent deux anciens lauréats !
Joël Courtois, directeur général de l'EPITA, a justement profité de l'événement pour réitérer l'engagement de l'école dans le suivi du concours. Ainsi, durant les prochains mois, l'Institut d'Innovation Informatique de l'EPITA (3ie) prendra le relais de Synergie pour permettre à Lisa, Martin, Mathéo et Rémi des Kids from LH d'industrialiser leur solution innovante, tandis que l'enseignante-chercheuse Loica Avanthey mettra tout en œuvre pour aider l'équipe Little Miss Sunshine à développer son projet au sein du nouveau laboratoire de robotique multi-écoles du Groupe IONIS ! « En compagnie d'étudiants, Loica tentera d'amener Little Miss Sunshine à l'aboutissement d'un premier prototype fonctionnel, explique Anne Dewilde, directrice de 3ie. Quant au projet des Kids from LH, nous sommes en train de reprendre les avancées réalisées par Synergie pour industrialiser la solution et leur permettre de faire prochainement un test grandeur nature auprès d'une vingtaine d'élèves d'une classe de 6e de l'Internat d'Excellence. »

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« C'est important pour Science Factor de pouvoir à nouveau compter sur l'EPITA cette année car l'école a déjà fait un travail formidable à travers son association Synergie, souligne Claudine Schmuck. Malgré leurs études très prenantes, les étudiants de l'association se sont parfaitement investis auprès des collégiens et ont permis la mise en place d'un premier prototype. Cet engagement a été superbe et nous sommes ravis de voir les laboratoires de l'école prendre le relais pour aller encore plus loin ! »

Retrouvez Science Factor sur son site Internet, Facebook et Twitter

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Elisabeth Belois-Fonteix, Senior VP Human Resources Innovation Marketing and Technologies Division chez Orange

science_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_10.jpgSamia Ghozlane, directrice de la Grande École du Numérique et Dorothée Roch, cofondatrice de WI-FIlles

science_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_11.jpgPatrick Sevian, président de Sagemcom

science_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_12.jpgscience_factor_concours_lancement_2017_2018_partenariat_epita_ecole_colleges_lycees_france_ministere_projets_innovants_3ie_13.jpg

L'EPITA et l'association étudiante GConfs à la pointe sur les systèmes d'exploitation !

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retour_evenement_septembre_2017_EuroBSDcon_association_etudiants_GConfs_epita_conferences_international_experts_systemes_exploitation_bsd_rencontres_04.jpgLes 23 et 24 septembre dernier se déroulait à Paris l'EuroBSDcon 2017, soit la plus importante conférence européenne sur les systèmes d'exploitation BSD (pour « Berkeley Software Distribution »). Réunissant plus de 340 spécialistes (professionnels comme amateurs) venus des quatre coins du monde, dont plusieurs « stars » du milieu (Marshall Kirk McKusick, Theo de Raadt, Brendan Gregg, etc.), l'événement a tenu toutes ses promesses avec 3 « tracks », 3 keynotes et près de 30 talks passionnants.

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Theo de Raadt, Brendan Gregg et Marshall Kirk McKusick, trois grands noms parmi les 340 spécialistes présents lors de l'événement (Crédit Photos : Ollivier Robert)

Vous avez manqué l'EuroBSDcon 2017 et le regrettez ? Pas de panique : « Sponsors Bronze » de l'événement, l'EPITA et son association étudiante GConfs ont pensé à vous ! En effet, mobilisés durant l'intégralité de la manifestation, sept membres de GConfs ont assuré l'enregistrement et la rediffusion en direct de 33 interventions et keynotes : la totalité de l'EuroBSDcon 2017 est donc à revivre dès à présent sur la chaîne YouTube de l'association (et dans la playlist ci-dessous) !



L'occasion de se (re)plonger dans la conférence donnée par Marc Espie, enseignant-chercheur à l'EPITA (et cité en 2014 par le du Conseil National du Numérique comme l'un des 100 meilleurs développeurs français). Lors de cette dernière, Marc Espie a pu partager ses derniers travaux autour d'OpenBSD, « un système d'exploitation que quasiment tout le monde utilise sans le savoir » - Netflix, la plus grande entreprise de vidéos à la demande outre-Atlantique, ayant toutes ses machines reposant sur un BSD.


Une preuve de plus du professionnalisme des étudiants de l'association (qui captent régulièrement les conférences de l'école, comme lors de la dernière LSE Summer Week), récompensés par une invitation à rencontrer les prestigieux conférenciers et visiteurs lors d'une croisière nocturne sur une péniche le 23 septembre au soir.

Retrouvez GConfs sur Facebook et YouTube

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Une partie de l'équipe GConfs aux manettes


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Le Point Sécu : « La plus grande faille en matière de sécurité est humaine »

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Consultant spécialisé dans la sensibilisation à la sécurité informatique au sein de l'entreprise Intrinsec, Justin Ganivet (EPITA promo 2012) est surtout connu sur la toile pour ses talents de vidéaste. À la tête de la chaîne YouTube Le Point Sécu, l'ingénieur s'est donné pour mission de vulgariser avec humour (et sérieux) la cybersécurité et ses enjeux. Un challenge ambitieux sur lequel revient ce passionné.

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Justin, ingénieur et vidéaste

Quand as-tu eu envie de te lancer sur YouTube ?
Véritablement en avril 2016. À l'époque, je faisais déjà un podcast audio, Le Comptoir Sécu, qui parlait de sécurité informatique, mais pour un public plus technique. En parallèle, je passais pas mal de temps sur YouTube et regardais beaucoup de vidéos, notamment celles de la chaîne e-penser, qui vulgarisent les connaissances scientifiques. Du coup, cela m'a donné envie de penser un nouveau format, en vidéo cette fois, pour vulgariser à mon tour le sujet de la cybersécurité et le rendre compréhensible pour le plus grand nombre. Je pense que pour vraiment changer les choses en matière de sécurité informatique, il convient d'en parler à tout le monde et pas seulement aux initiés : c'est ce que j'essaye de faire encore aujourd'hui avec Le Point Sécu.

Pour toi, la sécurité informatique doit être au cœur d'un débat d'utilité publique ?
Oui et chacun doit y participer ! D'ailleurs, on a beau mettre en œuvre toutes les protections possibles, des antivirus aux firewalls, la plus grande faille en matière de sécurité est humaine : si une personne décide de cliquer sur un lien potentiellement dangereux, par inadvertance ou non, elle cliquera dessus. Il faut donc parler un maximum des bonnes pratiques à avoir.

Pourquoi avoir opté pour la vidéo pour Le Point Sécu ? Tu aurais très bien pu poursuivre dans l'audio et proposer un podcast différent du Comptoir Sécu.
Pour le challenge ! J'aime toujours apprendre et découvrir de nouvelles choses, acquérir de nouvelles compétences. Là, passer à la vidéo représentait un vrai défi. Non seulement cela requérait un bagage technique différent, avec l'usage d'un matériel autre, mais aussi des notions d'écriture pour le côté fiction-narration, de montage, de post-prod, d'étalonnage, d'effets spéciaux...
J'ai aussi choisi la vidéo pour une autre raison assez simple : elle permet de toucher un plus large public ! Même si, aujourd'hui, on assiste à un regain d'intérêt autour des podcasts, avec de plus en plus de nouveaux concepts et des personnalités du Net qui s'y mettent, ils s'adressent à une audience assez minime. C'est en tout cas l'impression que j'ai, moi qui en écoute depuis 10 ans. Avec la vidéo, notamment sur une plateforme comme YouTube, on arrive plus facilement à toucher une audience plus forte et globalement plus jeune. Or, les jeunes générations n'ont pas forcément une très bonne compréhension de ce qu'est Internet : ils se limitent à Facebook et Snapchat. Pour elles, le travail de vulgarisation est donc bien plus important que pour les anciennes générations ayant connu ou gardé une certaine peur de l'informatique.


Au fond, ceux qui ont grandi avant ou pendant la démocratisation d'Internet ont toujours gardé une méfiance vis-à-vis de ce qu'ils pouvaient trouver sur le Net, alors que ceux qui ont tout de suite baigné dedans manquent de vigilance et se croient dans un environnement cadré et sécurisé, même si ce n'est pas toujours le cas.
Ma génération a trimé pour comprendre comment fonctionnait telle ou telle plateforme sur Internet. Il fallait que l'on apprenne à bidouiller, à explorer, à creuser. Avec l'avènement du Web 2.0 il y a une petite dizaine d'années, le Net est devenu plus « simple » en apparence dans son utilisation, limitant ainsi la curiosité des utilisateurs à se pencher sur l'envers du décor.

En début d'entretien, tu citais e-penser, la chaîne de Bruce Benamran, comme source d'inspiration. D'autres vidéastes t'ont également influencé pour Le Point Sécu ?
C'est vrai que la principale source d'inspiration a été e-penser - il suffit de revoir mes premières vidéos pour s'en rendre compte ! Mais à côté de cela, d'autres chaînes m'ont également beaucoup motivé à me lancer. Je pense notamment à DirtyBiology, Nota Bene, Cyrus North... Impossible de toutes les citer !

Es-tu seul sur le créneau de la cybersécurité ou d'autres vidéastes s'y intéressent-ils ?
Je ne suis pas seul, même si le créneau reste encore assez restreint si l'on ne compte pas les vidéastes uniquement centrés sur la technique informatique pure et dure. En France, l'une des chaînes de vulgarisation informatique les plus connues est celle de Micode : malgré son jeune âge, son créateur est très bon dans la vulgarisation et fournit un travail vraiment qualitatif. Malheureusement, le succès de Micode a aussi créé un engouement auprès de certaines personnes flairant le « créneau à prendre » qui font des vidéos moins fouillées, parfois pas très accessibles ni très fiables ou beaucoup trop sensationnalistes... Cela dit, je conseille aussi une autre chaîne française très bien faite : Digital Wink. Pour la petite histoire, elle a été créée par un autre Ancien de l'EPITA, Shubham Sharma (promo 2015), qui est devenu un ami par la suite !


As-tu l'impression d'appartenir à une communauté de vidéastes français ?
Oui. J'ai d'ailleurs rejoint il y a peu un « collectif » qui s'appelle Youdeo et réunit plusieurs vidéastes. Cela permet pas mal d'entraide, une saine émulation et des possibilités de collaborations, de rencontres, d'échanges, etc. C'est un vrai plus pour améliorer ses vidéos... et tisser de belles amitiés !

Combien de temps te prend la réalisation d'une vidéo ?
J'essaye de réaliser au moins une vidéo par mois, mais je n'ai pas vraiment de planning prédéfini, étant donné que je suis sur plusieurs projets en même temps, vidéos ou non. En fait, tout dépend des sujets traités. Par exemple, ma vidéo sur les Macron Leaks - un sujet alors d'actualité - a été écrite en une journée, tournée le lendemain, puis montée et publiée le surlendemain. Cela peut aller très vite comme cela peut demander plus de temps. Par contre, le processus est toujours le même : il faut d'abord que je trouve l'envie de parler de tel ou tel sujet. Après, ce qui prend le plus de temps, c'est l'écriture et le fait de pouvoir éviter le syndrome de la page blanche. Quant au choix du sujet, il repose sur deux critères : ma motivation pour en parler - est-ce que cela va me plaire ? - et son attractivité par rapport au public - cela va-t-il intéresser les gens ?

Tu dis travailler sur plusieurs projets. Peux-tu nous en dire plus ?
Actuellement, je suis en train de réaliser un court-métrage de fiction qui sera mis en ligne sur LeBoudoir, une toute petite chaîne où, avec des amis également amateurs, on s'essaye à la comédie. A côté de ça, je réalise aussi une série documentaire sur YouTube où j'interviewe des vidéastes belges et français présents sur la plateforme : cette série se nomme J'irai Dormir Dans Ton YouTube et se compose de plusieurs épisodes hébergés sur la chaîne de Youdeo. J'ai aussi d'autres choses de prévues, comme une vraie série de fiction liée à la sécurité, un peu comme Mr. Robot, ou encore des collaborations, mais je dois encore travailler dessus.

Quels conseils donnerais-tu à ceux qui voudraient également se lancer dans une « carrière parallèle » de vidéaste ?
Il faut oser démarrer et ne pas avoir peur car, dans tous les cas, la première vidéo ne sera probablement pas géniale ! L'idée, c'est de faire pour progresser. Si on ne commence pas, on ne pourra pas apprendre de ses erreurs. D'ailleurs, pour ceux que cela intéresse vraiment, il existe déjà sur YouTube de nombreux tutoriels de vidéastes permettant de connaître les rudiments et des conseils très pratiques, tant sur les méthodes de tournage que l'écriture. Il y a vraiment de quoi faire !

Suivez Le Point Sécu sur Facebook, Twitter et YouTube.

Vous pouvez également soutenir la chaîne via Tipeee

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Le Groupe IONIS et l'EPITA vous invitent à découvrir les métiers de demain, le samedi 14 octobre 2017 aux docks de la Cité de la Mode et du Design

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annonce_rencontres_orientation_figaro_etudiant_agora_groupe_ionis_metiers_demain_conferences_rencontres_nouvelles_techologies_samedi_14_octobre_2014_paris_epita_01.jpgLe samedi 14 octobre 2017, Le Figaro Étudiant investira les docks de la Cité de la Mode et du Design (Paris 13e) de 9 h à 18 h pour Les Rencontres de l'Orientation, un grand rendez-vous dédié à l'éducation, gratuit et ouvert à tous. Partenaire de cet événement associant ateliers et conférences, le Groupe IONIS sera présent au sein de l'Agora IONIS des métiers de demain, un espace spécial permettant aux visiteurs de vivre des moments d'échanges et de dialogue avec des spécialistes des nouvelles technologies vouées à transformer la société comme les entreprises.

Au sein de l'Agora IONIS, plusieurs conférences tournées vers l'avenir seront également organisées tout au long de la journée.

L'EPITA animera notamment une conférence de 14 h 30 à 15 h 30 sur le rôle et les missions de l'ingénieur en 2025. Joël Courtois, le directeur général de l'école, abordera les constantes, ruptures et autres évolutions auxquelles seront confrontés les futurs ingénieurs en informatique.

annonce_rencontres_orientation_figaro_etudiant_agora_groupe_ionis_metiers_demain_conferences_rencontres_nouvelles_techologies_samedi_14_octobre_2014_paris_epita_02.jpgD'autres conférences seront également prévues : les nouvelles perspectives des métiers de l'informatique (avec Epitech, de 9 h 30 à 10 h 30), les transformations des métiers du marketing et de la communication (avec l'ISEG Marketing& Communication School Paris, de 10 h 30 à 11 h 30), les nouveaux horizons des métiers associés aux biotechnologies (avec Sup'Biotech, de 11 h 30 à 12 h 30), les évolutions des « fonctions business » dans les secteurs de la mode et du luxe (avec Moda Domani Institute, de 12 h 30 à 13 h 30), les nouvelles orientations des métiers du business et du management (avec l'ISG Programme Business & Management 3+2, de 15 h 30 à 16 h 30) et les transformations de la création digitale et du design (avec e-artsup, de 16 h 30 à 17 h 30).

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Le Figaro Étudiant présente « Les Rencontres de l'Orientation »
Le samedi 14 octobre 2017 de 9 h à 18 h, aux docks de la Cité de la Mode et du Design
34 Quai d'Austerlitz
75013 Paris

Accès :
Métro : ligne 1/14 (Gare de Lyon), ligne 5 (Gare d'Austerlitz) et ligne 6 (Quai de la Gare).
RER : ligne A & D (Gare de Lyon) et ligne C (Gare d'Austerlitz).
Bus : 24, 57, 61, 89 et 91.

Événement gratuit sur inscription : plus d'informations sur la page dédiée.

Conférences au sein de l'Agora IONIS de 9 h 30 à 17 h 30.

Programme complet de l'événement disponible ici.

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Nathan Berry (EPITA promo 2021) invité à l'Élysée pour son projet d'application dédiée à l'art

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En plus d'être étudiant en 2e année à l'EPITA, Nathan Berry (promo 2021) est également entrepreneur. Invité à l'Élysée le mercredi 20 septembre 2017, il a pu présenter à Claudia Ferrazzi, la conseillère culture et communication du président de la République, son projet Samo d'application mobile visant à faciliter le partage de connaissances autour de l'art dans les musées. Rencontre avec ce futur ingénieur qui prouve que l'on peut conjuguer culture et nouvelles technologies.

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Nathan Berry et l'un de ses deux associés, Alexandre Doublet

Qu'est-ce que Samo ?
C'est un projet d'application dont la fonction principale consiste à permettre à son utilisateur d'en savoir plus sur n'importe quelle œuvre d'art. Cela fonctionne en trois étapes. D'abord, l'utilisateur prend en photo une œuvre d'art via l'appli. La photo est ensuite reconnue par un serveur externe associé à une base de données compilant justement les œuvres existantes. Enfin, l'utilisateur reçoit directement les informations liées à l'œuvre - son histoire, son contexte, sa composition, son interprétation, la bio de l'artiste, etc. Bien entendu, tout cela se fait automatiquement.
L'autre objectif de Samo est d'encourager les gens à voir le plus d'œuvres d'art possible, à étancher leur curiosité. Comment ? En s'inspirant de ce que font déjà les sites d'e-commerce comme Amazon, via des suggestions d'œuvres et d'artistes à découvrir pouvant coller avec les œuvres déjà consultées. Avec ce projet, nous souhaitons donc démocratiser encore plus l'accès à l'art, notamment auprès des néophytes et du jeune public.

Depuis combien de temps travailles-tu dessus ?
Cela va faire un peu plus d'un an que j'ai commencé. Évidemment, j'essaye de concilier le temps passé sur le projet avec mes études. Aujourd'hui, Samo avance bien et le prototype est déjà viable. Désormais, nous sommes actuellement en phase active de recherche d'investisseurs afin de pouvoir aller plus loin.

Quel est ton rôle au sein du projet ?
Nous sommes trois cofondateurs : il y a mon cousin Alexandre Doublet, Brice Naranassamy et moi. J'ai commencé l'aventure avec Alexandre qui lui gère la partie commerciale et la communication. C'est d'ailleurs lui qui a permis à l'équipe d'entrer en contact avec la conseillère du président. Brice, un ami d'enfance d'Alexandre, est lui en charge de tous l'aspect légal et juridique de l'entreprise. Quant à moi, je suis un peu le directeur technique du projet, dans le sens où j'ai fait la grande majorité de l'application et dirigé les autres EPITéens qui se sont occupés de créer le serveur derrière, Florian Amsallem et Julien Mounier (promo 2020).

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Un aperçu de ce que pourrait donner Samo

Justement, comment une jeune start-up comme la vôtre a réussi à se faire accueillir à l'Élysée ?
Tout simplement grâce au bouche à oreille, en parlant du projet et suite à de premières présentations faites devant de potentiels investisseurs. C'est comme cela que nous avons pu rencontrer le producteur Stéphane Ruet (par la suite chargé de l'image du président François Hollande en 2014) qui, très intéressé, nous a ensuite mis en relation avec Claudia Ferrazzi. Notre chance, c'est que le projet s'inscrit pleinement dans la volonté de l'Élysée, qui souhaite soutenir les jeunes créateurs d'entreprise, mais aussi sauvegarder et valoriser le patrimoine français. Il faut avoir en tête que les musées étrangers ont parfois un patrimoine moindre que le nôtre, mais ils savent mieux communiquer dessus. En France, c'est un peu l'inverse : on a un patrimoine culturel très riche sur lequel on communique très peu.

L'Élysée va-t-elle suivre l'évolution de Samo ?
Oui. L'Élysée s'est engagée à nous aider en matière de communication et de mise en relation avec d'éventuels partenaires pour le développement de Samo. En effet, le principal défi lié à l'application repose sur la constitution de la base de données qui ne peut s'étoffer qu'avec l'accord et la participation des musées. Le soutien de l'Élysée nous sera précieux pour rentrer en contact avec les curateurs et ainsi avancer sur cette question.

projet_start-up_etudiant_epita_entrepreneur_samo_application_art_musees_elysee_culture_ingenierie_technologies_2017_04.jpgNathan et Brice Naranassamy en pleine présentation de Samo avec Claudia Ferrazzi

Luc Delsalle (EPITA promo 2011), lauréat du Prix de l'Innovation et du Prix du Public lors des Assises de la Sécurité 2017

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epita_ancien_laureat_prix_innovation_public_assises_securite_2017_alsid_solution_temps_reel_cybersecurite_ingenieur_srs_securesphere_recompense_03.jpgDepuis 2001, les Assises de la Sécurité réunissent chaque année les acteurs de la sécurité des systèmes d'informations pour aborder les grandes thématiques actuelles liées au secteur, des problématiques nationales et internationales aux dernières tendances et innovations. Organisée à Monaco du 11 au 14 octobre 2017, la 17e édition a une nouvelle fois réuni de nombreux Anciens de l'EPITA, l'école sensibilisant depuis longtemps les futurs ingénieurs aux enjeux de la cybersécurité. Parmi les EPITéens présents, Luc Delsalle (promo 2011) a brillé en remportant le Prix de l'Innovation et celui du Public des Assises de la Sécurité 2017 pour la société Alsid dont il est co-fondateur et CTO. Une belle récompense pour cet Ancien qui, en parallèle, fait également profiter de son expertise les étudiants actuels de l'école ainsi que les professionnels en enseignant au sein de la Majeure Systèmes, Réseaux et Sécurité (SRS) et dans le cadre des formations continues proposées par SecureSphere by EPITA.

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De gauche à droite : Emmanuel Gras, cofondateur et CEO d'Alsid, Didier Gras, co-président du jury et IT Risk & Cybersecurity Officer à BNP Paribas et Luc Delsalle

Créée en 2016 par Luc Delsalle et Emmanuel Gras, tous deux auparavant passés par la cellule opérationnelle de cybersécurité de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), Alsid n'en finit plus de monter. Après une levée de fonds de 1,5 millions d'euros bouclée au mois de septembre 2017, la jeune entreprise vient de s'offrir une belle publicité avec ces deux prix récoltés lors des Assises de la Sécurité. La raison de ce succès ? Sa solution Directory Security Compliance, servant à l'évaluation en temps réel du niveau de sécurité d'une infrastructure Active Directory. Des qualités techniques répondant à une problématique touchant un grand nombre d'entreprises qui ont logiquement séduit les experts du jury comme le public de ces Assises 2017. « C'est un honneur pour nous d'être arrivés en finale, et encore plus d'avoir obtenu ces deux prix prestigieux en ce jour anniversaire de la création de la société », se félicite Emmanuel Gras, conscient que cette double distinction permettra à l'entreprise de participer en tant que partenaire aux Assises 2018. « Cette future présence sera une opportunité qui va nous permettre de poursuivre notre développement commercial et montrer que nous apportons une réelle innovation sur le marché de la cybersécurité qui contribue à la protection optimale des infrastructures des entreprises. »

Alsid, un champion de la sécurité en temps réel
Dans un contexte de risques grandissants, Active Directory est devenu un enjeu crucial pour les entreprises. Avec sa capacité d'identifier les risques qui pèsent sur ces infrastructures vulnérables tout en adoptant une approche pragmatique pour répondre efficacement aux menaces actuelles, la solution mise au point par Alsid fait donc l'unanimité. « Ce prix récompense une start-up qui a une maturité exceptionnelle pour une entreprise qui a tout juste un an », déclare ainsi Sylvain Thiry, co-président du jury et directeur délégué de la relation clients de la direction des services partagés SI du Groupe SNCF. « Leur produit est complétement en phase avec les préoccupations actuelles des responsables de la sécurité des systèmes d'information (RSSI). Par ailleurs son installation simple et rapide est un atout différenciant. Je suis persuadé qu'Alsid a un très bel avenir, préparez-vous à faire la queue sur leur stand lors de la prochaine édition des Assises. »

Retrouvez Alsid sur son site Internet, Facebook, GitHub, LinkedIn et Twitter

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Découvrez le IONIS Mag #36

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Le numéro 36 du magazine de IONIS Education Group vient de sortir.

Au sommaire de cette nouvelle édition :

Bonne lecture ci-dessous ou directement sur la page dédiée !


Une promotion, 7 projets : découvrez Praxicolor, l'appli conçue pour L'Oréal par Cyrille Cazenave, Kévin Disclyn et Fabio Ferreira Cachapa (EPITA promo 2017)

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Alors étudiants en 5e année au sein de la Majeure Global IT Management (GITM), Cyrille Cazenave, Kévin Disclyn et Fabio Ferreira Cachapa (EPITA promo 2017) ont travaillé sur Praxicolor, un projet de fin d'études en collaboration avec l'entreprise L'Oréal. Son but ? Permettre aux coloristes des salons de coiffure de se former aux produits du géant de la cosmétique et mieux répondre aux attentes de leurs clientes.

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Pourquoi avoir développé un tel projet ?
Nous avions le choix entre plusieurs projets, mais nous nous sommes rapidement tournés vers celui-ci car nous trouvions intéressant le fait de pouvoir travailler avec une grande entreprise comme L'Oréal.

En quoi consiste exactement votre projet ?
Il s'adresse aux coloristes qui souhaitent améliorer leur performances pour mieux satisfaire les envies de leurs clientes et faire alors une réelle différence avec les produits de colorations disponibles dans les magasins de grande distribution. Le principe consiste à saisir la situation de la cliente (pourcentage de cheveux blancs, couleur ancienne, nouvelle coloration souhaitée etc.). L'application guide alors les coiffeurs dans la construction du diagnostic puis le choix des produits et des techniques d'applications permettant de garantir au mieux les souhaits de la cliente. Il s'agit ici du premier grand service du projet. Un autre service permet aux collaborateurs du salon de se former à la logique métier des usages de la gamme des produits du groupe L'Oréal avec une approche de gamification : quizz, simulation de cas et vidéos.


Qu'est-ce qu'apporte le fait de travailler avec une grande entreprise ?
Cela permet de voir comment évolue un projet dans une grande structure. Par exemple, il a parfois fallu répondre à des contraintes non prévues au départ, comme un besoin lié à la sécurité des données, des respects de normes et processus demandées par la direction numérique du groupe.

Qu'avez-vous le plus apprécié ?
Associer le monde de la coiffure avec celui de l'informatique, deux univers non proche par nature. Il est intéressant d'expérimenter alors la conduite du changement et via la transformation numérique de ce type d'entreprise.

Quel a été le plus gros défi ?
De connaître et comprendre tout le vocabulaire du métier et les règles de coloration afin de pouvoir coder ! Pour cela, il a fallu échanger avec des coloristes, découvrir l'univers des salons de coiffure et retranscrire leurs connaissances en langage informatique. Finalement, le plus gros challenge n'a pas été technologique : il consistait surtout à trouver un langage commun et intelligible entre ces deux mondes.

Où en est le projet aujourd'hui ?
Il en est encore au stade de proof of concept (POC) et à l'étude par les divisions formations et Marketing du groupe L'Oréal.

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L'EPITA vous propose de découvrir sept projets de fin d'études parmi la vingtaine portée par les futurs ingénieurs de sa promotion 2017. Découvrez également le projet Naja, un arroseur automatique connecté développé par Ayoub Assaadi, Antoine Denis, Jordan Goasdoué et Nieveetha Mohanaraj de la Majeure Systèmes d'Information et Génie Logiciel (SIGL).

Fête de la Science 2017 : les collégiens à la rencontre des associations Evolutek et Prologin de l'EPITA

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retour_fete_science_2017_epita_associations_prologin_evolutek_rencontres_collegiens_collegiennes_ingenieurs_informatique_robotique_musee_arts_metiers_04.jpgLes 14 et 15 octobre 2017, l'EPITA participait à la 26e édition de la Fête de la Science dans l'enceinte du Musée des Arts et Métiers à Paris. Deux de ses associations, Evolutek et Prologin, y proposaient différents ateliers ludiques afin d'initier à l'univers de l'informatique de nombreuses classes de collèges d'Île-de-France.

retour_fete_science_2017_epita_associations_prologin_evolutek_rencontres_collegiens_collegiennes_ingenieurs_informatique_robotique_musee_arts_metiers_08.jpgNotamment connue pour organiser chaque année le Concours national d'informatique, une compétition ouverte à tous les jeunes de moins de 20 ans (les inscriptions pour l'édition 2018 ont d'ailleurs débuté), ainsi que le stage estival Girls Can Code!, Prologin a ainsi séduit les visiteurs avec un session de découverte de la programmation et des démonstrations d'animations réalisées à partir d'algorithmes !

Retrouvez Prologin sur son site Internet, Facebook et Twitter.

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Avec de nombreuses participations à la Coupe de France de Robotique de Planète Sciences à son actif, Evolutek est l'association des passionnés de robots au sein de l'EPITA, mais aussi de l'IPSA, de Sup'Biotech et d'Epitech. Pour partager cette passion avec les collégiens et collégiennes, les membres d'Evolutek ont pensé à deux activités : une introduction au logiciel de modélisation 3D CATIA, permettant à la fin de réaliser une impression 3D, et une initiation au langage Arduino, très utile pour débuter dans la programmation !

Retrouvez Evolutek sur Facebook

retour_fete_science_2017_epita_associations_prologin_evolutek_rencontres_collegiens_collegiennes_ingenieurs_informatique_robotique_musee_arts_metiers_05.jpgretour_fete_science_2017_epita_associations_prologin_evolutek_rencontres_collegiens_collegiennes_ingenieurs_informatique_robotique_musee_arts_metiers_06.jpgretour_fete_science_2017_epita_associations_prologin_evolutek_rencontres_collegiens_collegiennes_ingenieurs_informatique_robotique_musee_arts_metiers_07.jpg

Quand les 1res années découvrent les nouveaux campus en régions : focus sur l'EPITA Lyon

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Cette rentrée 2017-2018 est un peu particulière dans l'histoire de l'EPITA. En effet, elle marque officiellement les débuts de quatre nouveaux campus à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse ! L'occasion pour de nombreux étudiants de commencer leur cursus en régions, avant de plus tard rejoindre leurs homologues parisiens afin d'effectuer le cycle Ingénieur proposé par l'école. En attendant ce moment charnière qui interviendra en 2020, huit étudiants de 1re année racontent leur découverte de l'EPITA. Pour ce premier épisode consacré à l'EPITA Lyon, la parole est donnée à Charles et Maëlys !

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Charles et Maëlys, deux nouveaux EPITéens installés à Lyon !

Maëlys vient d'Île-de-France, Charles de Provence, mais c'est bien à l'EPITA Lyon qu'ils ont décidé de commencer leurs études supérieures. « J'avais pu découvrir Lyon l'année dernière et ça me semblait une ville particulièrement charmante et étudiante, explique Charles, convaincu dans sa décision par une visite des locaux. Ils me paraissaient adéquats à des études et très agréables ! » Du côté de Maëlys, venir dans la cité des Gones représentait également un bon moyen de prendre son envol : « Mon choix du campus s'est fait pour deux principales raisons. D'abord, son emplacement dans le centre de Lyon et donc sa proximité avec les transports, les lieux de restauration, les résidences étudiantes, etc. Ensuite, une envie d'indépendance. Étudier ici, c'est l'occasion de ne plus vivre avec mes parents, d'apprendre à me gérer seule, à me responsabiliser... »

Au-delà de la ville, si les deux EPITéens ont voulu rejoindre l'EPITA, c'est pour une seule et même raison : l'informatique. « C'est un thème qui me tient à cœur et que je souhaitais approfondir lors de mes études post bac, détaille Maëlys, également séduite par « l'ambiance et la richesse de la vie associative » entraperçues lors des Journées Portes Ouvertes. « Ma décision s'est aussi basée sur le diplôme reconnu et les connaissances que l'école nous permet d'acquérir, mais pas seulement. L'ouverture à l'international a été pour moi un autre critère important. » Même discours chez Charles. « Je recherchais des études permettant de m'assurer une place sur le marché du travail, mais toujours dans l'informatique. Mon frère, qui fait ses études à Epitech, m'avait parlé de l'EPITA car je recherchais des études en informatique plus généralistes. »

epita_lyon_campus_etudiants_info-sup_temoignages_decouverte_2017-2018_cycle_preparatoire_02.jpgAprès avoir vécu leurs premières semaines de cours, les étudiants ne regrettent pas leur orientation, même s'ils doivent encore s'adapter à une cadence encore nouvelle pour eux. « Mes premières semaines d'études ont été denses, note Maëlys. Je trouve la charge de travail personnel très importante. Elle n'a rien à voir avec celle du lycée. De plus, le rythme des cours est soutenu. Il est indispensable de s'organiser sans quoi on peut se sentir dépassé. D'ailleurs, les cours fonctionnent d'une manière différente - il faut préparer les exercices et les leçons à l'avance chez soi - et cela m'a déstabilisée au départ. Pour autant, cette pédagogie me parait bien plus intéressante que celle que j'ai pu connaître auparavant ! » Pour Charles, cette quantité de travail est aussi bénéfique pour renforcer la cohésion au sein de la promotion. « Ça se ressent dans le travail commun avec les autres étudiants : il y a une complicité qui se crée, mais toujours avec le travail au centre ! »

Quand les 1res années découvrent les nouveaux campus en régions : focus sur l'EPITA Rennes

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Cette rentrée 2017-2018 est un peu particulière dans l'histoire de l'EPITA. En effet, elle marque officiellement les débuts de quatre nouveaux campus à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse ! L'occasion pour de nombreux étudiants de commencer leur cursus en régions, avant de plus tard rejoindre leurs homologues parisiens afin d'effectuer le cycle Ingénieur proposé par l'école. En attendant ce moment charnière qui interviendra en 2020, huit étudiants de 1re année racontent leur découverte de l'EPITA. Ce deuxième épisode se consacre au campus de Rennes en compagnie de Gireg et Nora !

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Gireg et Nora, deux nouveaux EPITéens à Rennes

La création des campus en régions s'adresse aussi aux étudiants des environs. Tous deux Rennais, Gireg et Nora sont là pour en témoigner. « J'ai préféré le campus de Rennes pour sa proximité et sa petite promotion », explique Nora, vite rejointe sur ce point par Gireg. « J'ai choisi l'EPITA Rennes de par sa proximité avec mon lieu d'habitation. La taille de la structure était aussi quelque chose d'important pour moi : le fait que l'on soit une trentaine d'élèves est très intéressant. »

Encore petite, mais destinée à devenir grande, la « petite sœur bretonne » de l'EPITA Paris cultive ainsi ses différences pour le plus grand bonheur de ses étudiants, tous ravis d'avoir opté pour l'école après quelques semaines de cours. « L'ambiance très conviviale me rassure, confie Nora, pourtant pas forcément attirée par l'idée de se plonger dans une prépa au départ. Nous avons eu une présentation sur les différents projets et événements que nous aurons cette année : c'est très stimulant ! » Même constat chez Gireg, définitivement convaincu. « Je me sens déjà bien intégré à l'école ! Les cours sont très intéressants et on étudie des matières plus tournées vers l'informatique. Je sens que ce domaine va me plaire. »

epita_rennes_campus_etudiants_info-sup_temoignages_decouverte_2017-2018_cycle_preparatoire_02.jpgRelire le premier épisode dédié à l'EPITA Lyon

Quand les 1res années découvrent les nouveaux campus en régions : focus sur l'EPITA Strasbourg

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Cette rentrée 2017-2018 est un peu particulière dans l'histoire de l'EPITA. En effet, elle marque officiellement les débuts de quatre nouveaux campus à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse ! L'occasion pour de nombreux étudiants de commencer leur cursus en régions, avant de plus tard rejoindre leurs homologues parisiens afin d'effectuer le cycle Ingénieur proposé par l'école. En attendant ce moment charnière qui interviendra en 2020, huit étudiants de 1re année racontent leur découverte de l'EPITA. Pour ce troisième épisode, l'EPITA vous emmène à Strasbourg pour découvrir le campus à travers les yeux de Léon et Zoé !

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Léon et Zoé portent désormais les couleurs de l'EPITA (et du Concours Advance) à Strasbourg !

Plus à l'Est, là-aussi les sourires sont de rigueur. « Avant d'arriver à l'EPITA Strasbourg, j'étais lycéen au Lycée Jeanne d'Arc de Mulhouse, en filière S spécialité ISN (pour Informatique et Sciences du Numérique), et c'est en m'initiant à l'informatique avec ma spécialité que je me suis intéressé au cursus proposé par l'EPITA, raconte Léon. J'ai donc passé le Concours Advance pour pouvoir intégrer l'école, le campus se trouvant au centre de Strasbourg, une ville faite pour les étudiants ! »

Autre ancienne pensionnaire du Lycée Jeanne d'Arc et de la spécialité ISN, Zoé a un peu connu le même parcours que Léon. « C'est ce qui m'a fait découvrir plus en profondeur l'informatique et la programmation... et m'a ensuite convaincue de poursuivre mes études dans ce domaine ! Intégrer l'EPITA m'est alors apparu comme la meilleure solution pour mes études supérieures. La pédagogie est intéressante, par sa forte part de travail personnel, mais aussi par le fait que l'apprentissage reste encadré par des professeurs lors des TD en classe : même si l'intégralité du cours n'est parfois pas encore maîtrisée, les professeurs sont là pour nous aider. De plus, le fait qu'un campus ait ouvert cette année dans ma région a été un vrai atout pour mon choix d'orientation, tout le monde n'ayant pas forcément la possibilité d'aller à Paris pour étudier. »

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Aujourd'hui, Léon comme Zoé se sentent comme des poissons dans l'eau. « Je suis très satisfaite de l'école, note l'EPITéenne. Le séminaire a été une période très intense, parfaite pour nous rappeler que le niveau attendu était élevé. L'emploi du temps est bien réparti, nous laissant le temps de travailler chez nous en plus des cours. Surtout, le campus de Strasbourg est vraiment super ! le fait d'être une petite promo est un vrai avantage au niveau de l'entraide entre élèves notamment ! » Un sentiment partagé par Léon. « Après ces premières semaines d'études, j'ai un très bon ressenti face à la pédagogie proposée par les professeurs du campus, les nouvelles matières que nous abordons sont intéressantes et le volume horaire est bien réparti tout au long de la semaine. »

Relire le deuxième épisode dédié à l'EPITA Rennes

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