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Advance Parallèle : une solution simple pour se réorienter rapidement ou poursuivre ses études vers le monde passionnant de l'ingénierie

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advance_parallele_2017-2018_ipsa_epita_supbiotech_esme_sudria_reorientation_rebondir_ecoles_ingenieurs_groupe_ionis_candidatures_rapide_etudes_formations_0001.jpgChaque année, de nombreux étudiants peinent à rebondir en cours d'année après un choix initial ne correspondant finalement pas à leurs attentes. D'autres cherchent à poursuivre leurs études en école d'ingénieurs.

Voilà pourquoi l'EPITA, l'ESME Sudria, l'IPSA et Sup'Biotech (soit les quatre écoles d'ingénieurs du Groupe IONIS) ont mis en place la procédure Advance Parallèle.

Pour aider ces différents profils (PACES, 1res années de CPGE, L1, élèves de Terminale scientifique à l'étranger hors lycée français...) à changer d'orientation et suivre une formation passionnante sans perdre une année.

Pour permettre aux étudiants de DUT, BTS, L2 et L3 d'obtenir un diplôme d'ingénieur homologué par la Commission des Titres d'Ingénieur (CTI) dans la continuité de leur diplôme afin d'accéder à des métiers à forte valeur ajoutée dans des secteurs aussi variés que le numérique, l'aéronautique, l'énergie, la santé...

Vous pouvez vous y inscrire dès à présent !
Je candidate

advance_parallele_2017-2018_ipsa_epita_supbiotech_esme_sudria_reorientation_rebondir_ecoles_ingenieurs_groupe_ionis_candidatures_rapide_etudes_formations_0002.jpgPermettant de présenter une candidature unique afin d'intégrer l'EPITA sans perdre de temps, Advance Parallèle offre des solutions adaptées à tous les profils : les admissions parallèles, la rentrée décalée ou l'apprentissage.

advance_parallele_2017-2018_ipsa_epita_supbiotech_esme_sudria_reorientation_rebondir_ecoles_ingenieurs_groupe_ionis_candidatures_rapide_etudes_formations_0003.jpg
Toutes habilitées par la Commission des Titres d'Ingénieur (CTI), les écoles d'ingénieurs du Groupe IONIS sont présentes sur 13 campus, réparties sur 7 villes de France : Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse.

* Les villes de Bordeaux, Rennes et Strasbourg ne sont concernées que par les admissions parallèles


Quand les 1res années découvrent les nouveaux campus en régions : focus sur l'EPITA Toulouse

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Cette rentrée 2017-2018 est un peu particulière dans l'histoire de l'EPITA. En effet, elle marque officiellement les débuts de quatre nouveaux campus à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse ! L'occasion pour de nombreux étudiants de commencer leur cursus en régions, avant de plus tard rejoindre leurs homologues parisiens afin d'effectuer le cycle Ingénieur proposé par l'école. En attendant ce moment charnière qui interviendra en 2020, huit étudiants de 1re année racontent leur découverte de l'EPITA. Pour ce quatrième et dernier épisode, l'EPITA vous propose de faire un tour sur le campus de Toulouse avec la complicité d'Eloise et Frederico !

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Frederico et Eloise lors du week-end d'intégration (Crédit : association Ephemere)

Enfin, les nouveaux campus de l'EPITA accueillent également parfois des étudiants au profil très différent. C'est le cas à Toulouse où se côtoient Frederico, passé par le Lycée français Alioune Blondin Beye de Luanda (Angola), et Eloise, habitante du Sud-Ouest. « Je m'étais intéressé à l'ingénierie informatique pendant que je faisais mes choix pour les études supérieures, détaille Frederico. En cherchant des écoles sur Internet, je suis tombé sur l'EPITA et, après l'avoir comparée avec plusieurs autres écoles d'ingénieurs, j'ai compris que c'était celle qui me plaisait le plus. Si j'ai choisi l'EPITA Toulouse plutôt qu'un autre campus, c'est parce que j'ai des amis qui sont venu étudier ici aussi - cela me permet de ne pas être tout seul dans un pays nouveau - et que le climat est plutôt chaud ! »

Déjà habituée au climat du bassin de la Garonne, Eloise n'a pas eu la même réflexion que son homologue. « Après avoir fait les Journée de Découverte des Métiers de l'Ingénieur (JDMI) de Paris, j'étais très intéressée par l'EPITA, mais j'avais du mal à m'imaginer partir là-bas pour mes études. Alors, lorsque j'ai entendu parler de l'ouverture de l'école à Toulouse, j'ai sauté sur l'occasion ! »

focus_epita_toulouse_campus_etudiants_info-sup_temoignages_decouverte_2017-2018_cycle_preparatoire_02.jpgDepuis, les deux étudiants apprécient leur grande incursion dans les études supérieures depuis la ville rose. « Le niveau est élevé, juge Eloise. Cependant, avec de la détermination, on s'en sort. D'autant que l'ambiance de la classe est très bonne et les cours sont vraiment intéressants. » Frederico va même plus loin : « Après ces premières semaines, mon ressenti est que les professeurs sont tous incroyables. Ils nous aident avec nos difficultés et restent même après les cours pour nous expliquer quelque chose si on n'a vraiment pas compris. L'ambiance de classe est très agréable : on s'aide tous et il n'y a pas de conflit entre nous. Les cours se déroulent bien et les QCM ne sont pas aussi durs que ça - si on a révisé la matière, bien sûr ! Je suis maintenant sûr que l'EPITA est bien l'endroit où je devais étudier ! »

Relire le troisième épisode dédié à l'EPITA Strasbourg

L'EPITA et le Groupe IONIS aiment la Cité de la Réussite 2017

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cite_reussite_2017_evenement_rencontres_ionis_education_group_ecoles_etudiants_epita_01.jpgLe Groupe IONIS est un partenaire historique de la Cité de la Réussite. Devenu en 20 ans d'existence l'un des principaux carrefours de réflexion et de discussions sur les grands thèmes de la société, cet événement réunit 150 personnalités, issues de tous les domaines de la société civile, des arts, des sciences, du politique et de l'économie, qui réfléchissent ensemble autour d'une cinquantaine de débats.

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« Transmettre est affaire de culture mais aussi de patrimoine »
Pour sa 20e édition qui se déroulera les 18 et 19 novembre 2017 à La Sorbonne (Paris 5e), la Cité de la Réussite a choisi de retenir pour thème la transmission : « Transmettre est consubstantiel à la nature humaine, qu'il s'agisse de la vie que l'on donne, du savoir que l'on partage, des biens que l'on lègue, des rites et croyances que l'on diffuse, oralement ou par écrit. (...) La Cité de la réussite est par essence le lieu où se jouent toutes les gammes de la transmission. On se presse aux débats pour recueillir la parole et la pensée de celles et ceux qui s'obligent volontiers à transmettre leur expérience, leur réflexion, leurs solutions ou leurs révoltes. »

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Le Groupe IONIS y sera présent par l'intermédiaire de ses étudiants. Ainsi, une trentaine d'entre eux issus de plusieurs écoles et entité, dont l'EPITA, fera partie des « panels étudiants » : ils ont travaillé à l'élaboration des questions des débats, questions qu'ils poseront aux personnalités. Marc Drillech, directeur général du Groupe, interviendra dans un débat consacré à l'éducation : « Comment construire une vie de savoir ? », le 19 novembre à 14 h 30 dans l'amphithéâtre Turgot.

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Parmi les personnalités présentes à la Cité de la Réussite 2017 : le neuroscientifique Idriss Aberkane ; Jacques Attali, président de Postiv Planer ; Gilles Babinet, Digital Champion auprès de la Commission européenne ; l'homme politique François Baroin ; Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation Nationale ; le philosophe André Comte-Sponville ; le neuropsychiatre Boris Cyrulnik ; l'avocat Éric Dupont-Moretti ; la philosophe Cynthia Fleury ; la sénatrice Chantal Jouanno ; Alain Juppé, maire de Bordeaux ; Garry Kasparov, ancien champion du monde d'échecs ; l'écrivain Beate Klarsfeld ; Maurice Lévy, Président du Conseil de surveillance de Publicis ; le chef Thierry Marx ; Patrick Pelloux, médecin urgentiste ; le prospectiviste Joël de Rosnay...

Challenge Design4Green : quand l'EPITA s'engage pour une informatique responsable

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design4green_challenge_epita_supbiotech_etudiants_developpeurs_informatique_biotechnologies_environnement_ecologie_ecoresponsable_projet_application_2017_equipe_01.gifÀ l'EPITA, on pense depuis longtemps qu'informatique et écologie ne sont pas incompatibles. Après avoir déjà développé plusieurs projets lors de la COP21, brillé lors du défi Green Code Lab ou encore discuté des enjeux environnementaux de la Smart City du futur, l'école s'engage une nouvelle fois en faveur d'une informatique écoresponsable en présentant une équipe pour le challenge Design4Green. Organisé du mercredi 22 au vendredi 24 novembre 2017, ce nouveau mobilisera étudiants et professionnels pour que l'informatique de demain soit la moins énergivore possible.

design4green_challenge_epita_supbiotech_etudiants_developpeurs_informatique_biotechnologies_environnement_ecologie_ecoresponsable_projet_application_2017_equipe_02.jpgÉvénement international ayant pour partenaire l'Alliance Green IT (AGIT), Design4Green se veut comme une véritable odyssée vers un numérique plus durable en regroupant près de 500 participants repartis en 100 équipes venant de 5 pays différents. Son but ? Permettre aux challengers de devenir en deux jours les meilleurs Green développeurs en réalisant un projet d'application adoptant les meilleures pratiques d'éco-conception et en maîtrisant son impact sur l'environnement ! À la clé de ce challenge passionnant, un séjour dans une capitale européenne du Green IT pour l'équipe lauréate et une dotation de 1 000 euros pour les deux autres marches du podium.

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Le campus Paris Villejuif de l'EPITA et Sup'Biotech fait partie des lieux hôtes du challenge

L'EPITA & Sup'Biotech main dans la main
Pour y parvenir, les étudiants de l'EPITA ne seront pas seuls puisqu'ils s'associeront à ceux de Sup'Biotech, l'école d'ingénieurs en biotechnologies du Groupe IONIS. En favorisant la rencontre de deux domaines d'expertise pointue, l'équipe EPITA-Sup'Biotech se donne toutes ses chances d'accéder au podium et de proposer un projet remplissant les conditions requises pour faire de demain un monde plus green respectant les principes du développement durable. En plus de participer, les deux écoles proposent également aux équipes externes de venir prendre part au challenge : en effet, abritant au quotidien les étudiants du cycle préparatoire de l'EPITA Paris et ceux du cursus de Sup'Biotech, le Campus Paris Villejuif du Groupe IONIS fait également partie des lieux hôtes d'Île-de-France pour la compétition ! Un choix logique tant ce campus voit déjà se mélanger depuis de nombreuses années l'intelligence numérique et celle des biotechnologies. Vous êtes seul ou en équipe et avez envie de vous mesurer à la formation EPITA-Sup'Biotech ? Inscrivez-vous dès à présent sur le site de Design4Green !

N'hésitez pas à suivre l'équipe durant l'événement via les pages Facebook et Twitter de l'EPITA !

Retrouvez Design4Green sur son site Internet, Facebook et Twitter.

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digiSchool consacre un dossier complet à l'ingénierie au féminin

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Spécialisé dans l'éducation et le numérique, le site digiSchool vient de publier un dossier consacré à la place des femmes dans le monde de l'ingénierie.

Réalisé en partenariat avec l'association Elles Bougent et Femmes de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (FESR) avec le soutien de l'EPITA, ce dossier propose de répondre à de nombreuses questions sur cette problématique actuelle, les femmes ne représentant qu'à peine 28 % des étudiants en écoles d'ingénieurs en 2015.


Ce dossier s'accompagne également de plusieurs témoignages d'étudiantes ou professionnelles ayant fait le choix de l'ingénierie, parmi lesquelles quatre EPITéennes : Zoé Delduc (promo 2017), Nina Franchaisse (promo 2021), Alizée Penel (promo 2013) et Tania Situm (promo 2017).

En savoir plus sur le site de digiSchool

Retrouvez également sur digiSchool l'interview de Joël Courtois, directeur général de l'EPITA

L'équipe iGEM IONIS décroche une nouvelle médaille d'or !

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Réunissant 20 étudiants de l'EPITA, e-artsup et Sup'Biotech, l'équipe iGEM IONIS 2017 s'est rendue à Boston du 9 au 13 novembre pour prendre part à la grande finale de l'International Genetically Engineered Machine competition (iGEM). Sur place, la délégation en a profité pour rencontrer des participants passionnés venus du monde entier, mais surtout présenter dans le prestigieux Massachusetts Institute of Technology son projet Softer Shock utilisant des bactéries pour protéger les vignobles contre les brusques changements de température. Une présentation qui a visiblement su séduire le jury de la plus grande compétition étudiante au monde dédiée à la biologie de synthèse puisque ce dernier a décerné une médaille d'or à l'iGEM IONIS, également nommée dans trois catégories : « Best food & nutrition project », « Best new composite part » et « Best education & public engagement » ! Un succès mérité qui rappelle ceux des précédentes équipes iGEM IONIS, elles-aussi médaillées d'or en 2015 et 2016 !

medaille_or_equipe_etudiants_igem_ionis_2017_competition_international_projet_innovant_biologie_synthese_epita_e-artsup_supbiotech_softer_shock_01.jpgDécouvrez la présentation victorieuse de Softer Shock en vidéo !



L'EPITA et l'ensemble des écoles du Groupe IONIS félicitent chaleureusement les porteurs de ce beau projet !

Félicitez l'équipe iGEM IONIS sur les réseaux sociaux via Facebook et Twitter !

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Ils font partie de la team iGEM IONIS 2017 :

  • Pôle R&D : Antoine Arvor, Pauline Coudert, Maryne Follenfant, Eliott Lafon, Agathe Lermant, Paul Lubrano et Gabrielle Vuillaume (Sup'Biotech promo 2018)
  • Pôle Marketing : Camille Dury, Zoé Guiot, Julie Henry et Alexandra Silvain (Sup'Biotech promo 2018)
  • Pôle Human Practice : Marie Lhuissier, Alicia Magnanon, Fanny Richard et Maxime Sportich (Sup'Biotech promo 2018)
  • Pôle Modeling : Gaëtan Christien, Nicolas Delettre et Thomas Lhernould (Sup'Biotech promo 2018)
  • Pôle Bioinformatique : Hugo Beisser (EPITA promo 2017)
  • Pôle Design : Théo Klein (e-artsup promo 2018)

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Découvrez Emma Leroy, la lauréate EPITA du Trophée Excellencia 2017 !

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epita_trophee_excellencia_2017_laureate_etudiante_femme_ingenieure_recompense_projet_numerique_day_click_syntec_decouverte_passion_informatique_retour_01.jpgL'ensemble des lauréates du Trophée Excellencia 2017 et les écoles partenaires

Organisée en marge du Day Click (voir encadré) dans l'enceinte du Centquatre (Paris 19e) ce mardi 21 novembre 2017, la cérémonie de l'édition 2017 du Trophée Excellencia a réuni les huit nouvelles lauréates de ce concours proposé par Femmes du Numérique (commission de Syntec Numérique) et l'association Pasc@line pour inciter les jeunes filles à faire le pari d'une carrière dans l'informatique. Parmi ces lauréates se trouvait Emma Leroy qui, en remportant ce trophée, a pu se voir offrir l'intégralité de sa scolarité à l'EPITA, soit cinq années à étudier ce qui fera le monde de demain. Une belle histoire sur laquelle revient cette future ingénieure prometteuse !

epita_trophee_excellencia_2017_laureate_etudiante_femme_ingenieure_recompense_projet_numerique_day_click_syntec_decouverte_passion_informatique_retour_02.jpgJoël Courtois, directeur général de l'EPITA, aux côtés d'Emma

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Comment as-tu découvert le Trophée Excellencia ?
Emma Leroy : Il y a un an ou deux, lors d'une Journée Portes Ouvertes à l'EPITA, justement. J'avais découvert l'EPITA en 1re, lors d'un salon étudiant, et cela m'avait donné envie d'en savoir plus sur l'école. Du coup, pendant cette JPO, l'une des anciennes lauréates d'Excellencia était là pour présenter le trophée aux filles. Cela m'a donné envie de me renseigner sur le site de l'EPITA et celui d'Excellencia, puis de tenter ma chance.

Depuis combien de temps souhaites-tu faire des études dans l'informatique ?
Depuis mon entrée au lycée. Je m'intéressais déjà à l'informatique depuis de nombreuses années, mais c'est en 2nde que j'ai vraiment commencé à découvrir la programmation et à me dire que c'est ce que je voulais faire comme métier. D'où mon intérêt pour l'EPITA, qui propose de nombreux projets attirants, comme le fait de concevoir son propre jeu vidéo lors de la 1re année. C'est un peu l'école de mes rêves ! (rires)

epita_trophee_excellencia_2017_laureate_etudiante_femme_ingenieure_recompense_projet_numerique_day_click_syntec_decouverte_passion_informatique_retour_04.jpgCarine Braun, administratrice de Syntec Numérique et responsable de l'entreprise Red Hat en France, Espagne et Portugal, a félicité l'ensemble des participantes

Quelle a été ta réaction lorsque tu as appris la bonne nouvelle ?
J'étais très heureuse et surprise car je n'y croyais pas !

Peux-tu rappeler ce que le trophée Excellencia demande aux candidates ?
Il faut parler un peu de soi, de son parcours et surtout proposer une invention potentiellement révolutionnaire et conçue à l'aide du numérique, ce qui est assez stimulant. Pour ma part, j'ai proposé une petite puce ou carte qui serait implantée dans le nerf optique afin d'enregistrer nos souvenirs en vidéo pour ensuite pouvoir les revoir encore et encore. C'est une idée à laquelle je pensais depuis longtemps, notamment pour accompagner des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, et que j'ai finalement décidé de proposer sur un coup de tête. Bien sûr, vu la technologie actuelle, il est encore difficile de la réaliser, mais je crois vraiment que cela sera le cas dans le futur. On peut même envisager faire cela avec des lentilles de contact modifiées. Il me semble d'ailleurs qu'un projet de ce genre est en développement.

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Claudine Schmuck, fondatrice et directrice associée de Global Contact, a profité de l'événement pour dévoiler les résultats de l'enquête Gender Scan parlant de la mixité et des femmes dans les sciences et les technologies

En septembre, tu as officiellement intégré le cycle préparatoire de l'EPITA Paris. Comment vis-tu ces premiers mois sur le campus ?
Je m'y sens très bien ! Les élèves sont gentils - l'ambiance est super et je sais déjà avec qui je vais probablement réaliser le projet de 1er année - et les professeurs géniaux. En ce qui concerne les matières, j'aime surtout l'algo et la programmation... D'ailleurs, les trois heures de TP informatique sont vraiment prenantes : je ne vois jamais le temps passer ! Pour les associations étudiantes, je commence petit à petit à les découvrir. Beaucoup sont intéressantes, comme Epitanime ou le Bureau des Sports, mais je ne sais pas encore lesquelles intégrer. Je me laisse du temps avant de choisir.

Tu parles du projet de jeu vidéo de 1re année. As-tu déjà un concept en tête ?
C'est encore tôt et peut-être un peu trop ambitieux, mais on aimerait partir sur un jeu horrifique façon escape game, avec une vue à la première personne et une histoire très poussée. On a déjà commencé à réfléchir au scénario et au gameplay. Je me suis même mise à étudier la modélisation 3D.

Et sais-tu déjà ce que tu feras une fois ton diplôme d'ingénieure en poche, en 2022 ?
Non, pas du tout ! Je veux justement profiter de mes années à l'EPITA pour découvrir toutes les possibilités qu'offre l'informatique. Pour l'instant, j'apprends et je m'intéresse à tous les domaines. On verra plus tard pour choisir une spécialisation.

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Ingrid Bianchi (à droite), président de Diversity Source Manager et Jenny Augias (à gauche), directrice du cabinet Prairial, ont donné la parole à trois anciennes lauréates du trophée, parmi lesquelles Julia Benais (EPITA promo 2019, vignette à droite) et Justine Zanna-Bellegarde (promo 2019, vignette de gauche)

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La cérémonie s'est conclue avec l'intervention de Marie-Pierre Rixain, députée de l'Essonne, présidente de la délégation aux Droits des femmes et à l'égalité des chances entre hommes et femmes de l'Assemblée Nationale

epita_trophee_excellencia_2017_laureate_etudiante_femme_ingenieure_recompense_projet_numerique_day_click_syntec_decouverte_passion_informatique_retour_08.jpgVictoria Guehennec (EPITA promo 2020), lauréate EPITA 2015 du Trophée Excellencia, aux côtés de Julia et Justine


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Organisé par Syntec Numérique, le Day Click est un grand rassemblement des acteurs de la French Tech accueillant la cérémonie Excellencia, mais aussi de nombreux ateliers, concours et conférences faisant la part belle aux nouvelles technologies et à l'innovation. L'EPITA y était particulièrement bien représentée cette année, via ses Anciens devenus entrepreneurs à succès (Idopic, ProcessOut, Ysance), un corner dédié à l'animation VR proposé par les équipes de l'Institut d'Innovation Informatique de l'EPITA (3ie), un stand (très coloré et ambiancé) proposé par les étudiants de l'école, mais aussi les interventions remarquées de nombreux EPITéens actuels ou passés, comme Pierre Vallat (promo 2018), membre de Cristal, l'association entreprise de l'EPITA ou Cédric Eugeni (promotion 2014) de la start-up Sweebi.

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Pierre Vallat, en train de prendre la parole devant, notamment, Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargé du Numérique

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L'EPITA et le Groupe IONIS en veille contre le sida

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La Journée mondiale de lutte contre le sida a lieu chaque 1er décembre. Très attachées à la prévention et à la sensibilisation autour de cette maladie qui perdure encore aujourd'hui en France et dans le monde, toutes les écoles de IONIS Education Group se mobilisent tous les ans à la même période pour la campagne IONIS en veille contre le sida.

Actions, récoltes de fonds, conférences et ateliers... Durant la semaine du 27 novembre 2017, étudiants et enseignants de l'EPITA s'uniront ainsi sur leur campus pour poursuivre le combat.

Ainsi, l'EPITA Paris s'associera à l'école Sup'Biotech pour proposer de nombreux événements coordonnés par l'association solidaire Hope & Share de Sup'Biotech et le Bureau des Étudiants (BDE) de l'EPITA. Au programme : des ventes quotidiennes de tartes salées, gâteaux, crêpes et bonbons, une conférence de sensibilisation avec le Centre de ressources et d'informations sur la protection contre le sida (CRIPS), l'intervention de chercheurs travaillant sur le développement de vaccins et de thérapies anti-HIV, la réalisation d'une vidéo de sensibilisation créée par Al'Scène, l'association de théâtre de Sup'Biotech, une conférence de l'association Epiqueer, une soirée thématique sur le campus du Kremlin-Bicêtre, une compétition de babyfoot...

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N'hésitez pas à soutenir l'école et à suivre les autres actions du Groupe IONIS sur les réseaux sociaux avec le hashtag #IONISContreLeSIDA !



Green IT : cinq étudiants de l'EPITA remportent le challenge Design4Green 2017

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Formant l'équipe « Compiler c'est 12 », Jean T., Lucas M., Thomas D., Théodore W. et Denis D., cinq étudiants en 3e année du cycle Expert de l'EPITA, ont remporté la nouvelle édition de Design4Green, un challenge de 48 h dédié à la Green IT et organisé simultanément dans 5 pays du mercredi 22 au vendredi 24 novembre. L'occasion pour Lucas et Théodore de revenir sur cette performance qui, en plus de leur permettre de se hisser devant près d'une centaine d'équipes concurrentes, leur a fait gagner un séjour à Amsterdam.

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Joël Courtois, directeur général de l'EPITA, en compagnie de Denis, Théodore, Thomas et Lucas

Pouvez-vous rappeler le concept de Design4green ?
Théodore : Il s'agit d'un challenge autour du Green IT, soit les concepts d'écologie rattachés aux technologies. Le but cette année était de faire un moteur de recherche sur le support d'un site Web pour des dentistes : nous avions une base de données de dentistes avec un certain nombre d'informations fournies et nous devions donc concevoir le moteur de recherche le plus performance et écologique possible, le tout en 48h.

Comment un développeur peut-il créer un moteur de recherche écologique ? De quels moyens dispose-t-il pour y parvenir ?
Théodore :Techniquement parlant, il y a pas mal de choses, mais de manière plus globale, cela passe surtout par un certain nombre d'optimisations, côté serveur comme côté Front. Côté Front, cela se fait sur de l'optimisation de bande passante, sur la constitution du code généré, sur le choix d'utiliser ou non JavaScript ou encore sur la minification des fichiers envoyés afin d'envoyer justement le minimum possible de données nécessaires à l'utilisateur du moteur selon sa requête. Ensuite, en Back End, le choix du langage est aussi important : une fois celui-ci décidé, il faut alors choisir le framework à mettre en place, ce dernier étant un acteur majeur pour faire en sorte que la solution soit rapide ou pas et économe en « charge serveur ». D'autres éléments rentrent ensuite en compte, comme la mise en cache ou le fait de préparer un serveur proxy - ce que nous n'avons pas fait car mettre un proxy allait à l'encontre du sujet initial selon nous.
Lucas : Par exemple, mon rôle a consisté à gérer l'aspect base de données en générant l'entité que nous avons créée. J'ai aussi géré une bonne partie du Front et son optimisation sur la majorité des pages. J'ai également écrit des scripts d'optimisation côté Back End.

Pourquoi avoir choisi d'y participer ?
Théodore : Quand l'école nous a inscrits, on ne savait pas à quoi s'attendre : on y est donc allés sans apriori. Par contre, une fois le sujet entre les mains, on a tout de suite été emballés ! On y voyait une bonne opportunité d'utiliser dans une logique écologique des technologies que l'on côtoie en entreprise dans le cadre de nos alternances.
Lucas : Le Green IT est très intéressant, d'autant qu'on n'a pas forcément l'habitude d'en faire tous les jours. Bien entendu, il m'arrive de m'y plonger au travail, mais rarement à un tel niveau. Réussir à faire des pages très légères, avec du Front et du Back End optimisés à ce point, sans oublier ce qu'il se passe entre les deux... c'est super intéressant. Cela nous a même permis de découvrir et d'apprendre de nouvelles choses sur le sujet.

concours_challenge_design4green_2017_equipe_gagnante_epita_cycle_apprentissage_expert_ecole_etudiants_green-IT_programmation_defi_temoignages_02.jpgLe Green IT a-t-il vocation à devenir une question centrale dans les entreprises ?
Lucas : De fait, l'écologie et le développement durable représentent une question importante pour la société aujourd'hui. Les entreprises doivent donc se la poser à leur tour. Surtout que, au-delà de l'aspect écologique, elles ont tout à gagner à se lancer dans le Green IT qui, au fond, implique surtout de consommer moins de ressources. Cela donne lieu à des sites plus rapides, plus performants et moins chers à maintenir !

Le plus grand défi lors du challenge ?
Théodore : Une fois le sujet tombé, il a fallu faire rapidement un choix pour avancer le plus vite possible. On a alors convenu de partir sur une technologie spécifique que quatre d'entre nous connaissions assez bien pour travailler dessus efficacement : le framework Symfony. Du coup, cela a poussé le cinquième membre à davantage s'occuper du Front et à optimiser cette partie du projet. C'est là où, selon moi, résidait le plus gros défi, en plus du mode rush : faire en sorte que toute l'équipe reste soudée, malgré les quelques accrochages - qui ne sont pas rares dans ce genre d'exercice et peuvent même être salutaires.
Lucas : Il fallait partir sur quelque chose de plus basique, avec beaucoup de choses à faire « à la main » plutôt qu'à l'aide d'outils « classiques ». On devait éviter de prendre des raccourcis et c'est ce qu'on a su faire.

Vous attendiez-vous à remporter le concours ?
Théodore : On s'attendait à faire un bon résultat, mais pas forcément à finir en tête. À vrai dire, on espérait tout de même terminer dans les cinq premiers. Ce n'était donc que du bonheur de voir le classement définitif !
Lucas : Vu le travail fourni, on était plutôt confiants. La surprise fut bonne !
Théodore : D'ailleurs, l'annonce du gagnant se faisant par une sorte de grande conversation Skype en anglais, on n'a pas compris tout de suite notre victoire, la faute à un connexion capricieuse et une prononciation approximative du nom de notre équipe !

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« La sécurité informatique autour de l'automobile va devenir de plus en plus critique au fil des années »

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Étudiant en 5e année au sein de la Majeure Systèmes, Réseaux et Sécurité (SRS) en plus d'être assistant au sein du Laboratoire Sécurité & Système de l'EPITA (LSE), Stanislas Lejay (EPITA promo 2018) s'intéresse depuis longtemps à la question de la sécurité informatique associée au monde automobile. C'est cet attrait qui l'a mené à travailler étroitement avec l'entreprise Quarkslab et à coorganiser avec cette dernière le concours CodeBlue qui s'est déroulé au Japon au début du mois de novembre 2017. Entretien avec un futur ingénieur en pole position pour aborder le sujet du hacking automobile.

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Stanislas (à gauche) est passionné de sécurité informatique et d'automobile

Peux-tu rappeler ce qu'est Quarkslab ?
Stanislas Lejay : Il s'agit d'une entreprise parisienne de sécurité informatique avec qui j'ai commencé à travailler en parallèle à mes études à l'EPITA. Au départ, je l'avais contactée par rapport à l'un de mes projets, lors que j'analysais les bus informatiques internes aux voitures. De fil en aiguilles, ses équipes m'ont proposé de poursuivre mes travaux avec eux sur mon temps libre afin de développer de nouveaux projets et me permettre de monter en compétences. Et depuis le mois de septembre 2017, j'ai rejoint l'entreprise en tant que stagiaire.

Pourquoi le monde de l'informatique associé à l'automobile t'attire ?
J'ai toujours aimé « jouer » avec les voitures : je trouve la mécanique passionnante. Or, comme je suis également passionné d'informatique, j'ai très vite eu l'envie de coupler mes deux centres d'intérêt.

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CodeBlue est un événement consacré au hacking qui propose à la fois une grande conférence, des concours et différentes présentations. Pour cette édition, j'ai été chargé de coorganiser avec Quarkslab une compétition axée sur le hacking automobile. L'événement s'est déroulé à Tokyo du 6 au 9 novembre, dans le quartier de Shinjuku. Je m'y suis donc rendu pour organiser le concours et encadrer la vingtaine d'équipes participantes, chaque équipe étant constituée de trois à quatre personnes. La majorité des équipes participantes étaient japonaises, même si des équipes ayant réussi à se démarquer comptaient également des membres de différentes nationalités. J'ai ensuite profité de ma présence pour rester une dizaine de jours de plus et visiter le Japon que je découvrais pour la première fois.

En quoi consistait le concours ?
Nous leur avons donné la version « simplifiée » d'un système automobile, du genre de ceux que l'on peut retrouver sur des voitures plus ou moins récentes, puis leur demandions d'attaquer le système en exploitant ses vulnérabilités afin de pouvoir prendre le contrôle du bus et donc de la voiture.

Le niveau était-il relevé ?
Plutôt, oui. La plupart des participants avait déjà une certaine expérience en matière de système automobile. D'ailleurs, plusieurs équipes ont apporté leur propre matériel pour la compétition. Elles ont rapidement compris comment fonctionnait le protocole custom que nous avions mis dans le système : elles savaient ce qu'elles avaient à faire et comment le faire. La meilleure équipe a ainsi pu relever neuf des douze challenges proposés. Cela démontre une certaine aisance dans le hacking automobile.

Que retiens-tu de CodeBlue au final ?
L'atmosphère très particulière et la sympathie des Japonais. Tous les participants étaient polis et calmes, ce qui a permis au concours de se dérouler parfaitement. Organiser un événement dans de telles conditions était vraiment agréable. Cela restera un très bon souvenir.

Il n'y a pas eu de souci de communication avec les participants ?
Non, la barrière de la langue n'a pas été problématique. Il est vrai que les Japonais n'ont pas, en général, un très bon niveau d'anglais. Sauf que là, de par leurs connaissances en informatique, les participants étaient bien plus à l'aise avec la langue. De notre côté, nous avions également un peu pratiqué le japonais avant l'événement, histoire de pouvoir se faire comprendre un maximum si nécessaire.

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Stanislas lors du concours CodeBlue

Cela t'a donné envie de travailler un jour au Japon ?
Je dois justement effectuer un stage de six mois là-bas en février, dans une structure qui découle d'une collaboration entre Quarkslab et une société japonaise. On verra comme cela se passera sur place. Peut-être que cela me donnera envie de rester, qui sait ?

Quelle profession souhaites-tu faire après l'EPITA ?
J'y réfléchis souvent, bien sûr, mais si je connais le secteur, à savoir l'automobile, je ne suis pas encore en mesure de dire le métier. Je pense que le stage me permettra d'y voir plus clair. Pour autant, je sais que je ne vais pas avoir de problème à trouver ce que je veux en sortant de l'EPITA.

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Oui et c'est le principal message que nous voulions faire passer durant CodeBlue : avec l'arrivée des voitures connectées et autonomes, le hacking automobile est déjà important. Récemment, certaines attaques ont même été d'une grande ampleur, comme lorsque des hackers ont, depuis chez eux, réussi à prendre le contrôle de véhicules sur l'autoroute. Il est donc primordial de sensibiliser les gens : la sécurité informatique autour de l'automobile va devenir de plus en plus critique au fil des années.

Les systèmes des véhicules font-ils déjà l'objet de tests avant une éventuelle mise sur le marché ?
Cela existe, mais ce n'est pas encore incontournable, certaines sociétés n'ayant toujours pas compris l'importance de la sécurité informatique. Pour autant, les constructeurs les plus sérieux et prévoyants confient déjà des missions d'analyses des systèmes à des entreprises spécialisées.

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L'iGEM 2017 vue par Hugo Beisser (EPITA promo 2017), médaillé d'or avec l'équipe iGEM IONIS

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Seul futur ingénieur de l'EPITA au sein de l'équipe iGEM IONIS 2017, Hugo Beisser (promo 2017) est revenu de Boston avec une médaille d'or autour du cou, de beaux souvenirs et pas mal de photos.

retour_temoignage_hugo_equipe_igem-ionis_2017_etudiant_epita_mti_ingenieur_medaille_or_boston_international_informatique_projet_innovant_softer_shock_01.jpgComment t'es-tu retrouvé à intégrer l'équipe iGEM IONIS 2017 ?
Hugo Beisser : J'ai découvert l'iGEM par le biais de l'EPITA, quand le responsable de la Majeure Multimédia et Technologies de l'Information (MTI) est venu parler de l'équipe qui se formait en nous conseillant de nous y intéresser. Ce qui m'a tout de suite attiré, c'est cette idée d'établir des connections entre les différentes écoles du Groupe IONIS. En rejoignant l'équipe iGEM IONIS, je savais que j'allais pouvoir échanger avec des étudiants travaillant sur d'autres domaines de compétences que le mien, comme les biotechnologies pour Sup'Biotech ou encore le design pour e-artsup. Voilà pourquoi j'ai voulu faire partie de l'aventure. Pour ça et pour l'aspect environnemental au cœur du projet Softer Shock que souhaitait développer l'équipe.

Avant de te lancer, avais-tu déjà des connaissances en bio-informatique ?
Non, pas du tout ! D'ailleurs, au sein de l'équipe, je n'ai pas non plus réellement eu l'occasion de mettre : mon rôle consistait principalement à m'occuper de l'interface servant à présenter sur Internet nos travaux. J'ai d'abord mis en place un Wiki détaillant tout ce que l'équipe a pu réaliser durant l'année, puis mis en ligne un site Web comprenant une carte interactive servant à présenter les résultats d'un questionnaire sur la perception des OGM à travers le monde organisé par différentes équipes de l'iGEM.

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La délégation de l'iGEM IONIS 2017 à Boston, en compagnie de Randy Rettberg, le fondateur et président de l'iGEM

Comment s'est passé ton intégration au sein de l'équipe ?
Quand je suis arrivé, j'ai découvert une équipe très soudée, composée de gens dynamiques, bosseurs et très sympa : l'atmosphère de travail était vraiment motivante et cela m'a fait prendre beaucoup de plaisir durant l'aventure. Surtout, il y eu un réel partage entre nous : j'ai pu leur apporter un savoir informatique tandis que les étudiants de Sup'Biotech m'ont permis de renforcer ma culture générale, en particulier autour de la biologie de synthèse.

Tu as fait partie de la délégation iGEM IONIS qui s'est rendue à Boston. Comment peux-tu résumer cette expérience ?
Ayant séjourné à Boston par le passé, je connaissais déjà la ville. De ce côté-là, je ne peux pas dire que ce fut une grande découverte. Par contre, j'ai été vraiment surpris par l'importance de l'iGEM sur place ! Quand nous nous sommes rendus au Hynes Convention Center pour dévoiler Softer Shock, j'ai d'abord été impressionné par la taille du complexe, puis par les 2 000 personnes présentes dans la grande salle lors de notre présentation. Certes, je ne faisais pas partie des speakers de l'équipe, mais c'était quand même quelque chose. J'en ai d'ailleurs profité pour réaliser pas mal de photos et filmer l'événement. Je compte d'ailleurs sortir bientôt un aftermovie de cet iGEM 2017 !

retour_temoignage_hugo_equipe_igem-ionis_2017_etudiant_epita_mti_ingenieur_medaille_or_boston_international_informatique_projet_innovant_softer_shock_04.jpgNon seulement ton équipe a remporté une médaille d'or, mais elle a aussi été citée dans trois catégories « Best food & nutrition project », « Best new composite part » et « Best education & public engagement ». T'attendais-tu à une si bonne performance ?
Il y a toujours une incertitude, c'est sûr. Cela dit, notre objectif était clair depuis le début : faire aussi bien si ce n'est mieux que l'équipe iGEM IONIS 2016 qui, elle aussi, avait remporté la médaille d'or et fait l'objet de trois nominations. Du coup, au moment de l'annonce de la médaille et des catégories, nous étions tous très heureux : je me revois encore hurler à la victoire dans la salle ! Atteindre ce but était très important pour nous comme pour le futur de l'équipe iGEM IONIS : nous devons mettre la barre haute et vouloir progresser chaque année, pas régresser !

Quel conseil donnerais-tu aux étudiants de l'EPITA intéressés par l'iGEM ?
De s'intégrer le plus rapidement possible à l'équipe iGEM IONIS. En effet, cela peut paraître intimidant d'être le seul EPITéen au sein d'une équipe d'une vingtaine de personnes qui se connaissent déjà depuis plusieurs années, mais il faut y aller ! On s'y sent très vite à l'aise, vous verrez !

Retrouvez l'équipe iGEM IONIS sur les réseaux sociaux via Facebook et Twitter !

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La Business Week 2017 de l'EPITA en vidéo

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Cet été, les étudiants de la promotion 2018 de l'EPITA s'affrontaient en équipes lors de la traditionnelle Business Week de 4e année. Pour cette nouvelle édition de ce serious game mêlant gestion financière, ressources humaines, marketing et approche digitale, le défi consistait à proposer le meilleur projet entrepreneurial possible autour du hoverboard et de le simuler sur une période de plus de deux ans. Un challenge de taille pour les futurs ingénieurs en informatique sur lequel reviennent les étudiants concernés et les consultants professionnels qui ont pu les encadrer durant l'événement.

Retour sur le FEMII 2017, le grand rendez-vous de l'EPITA dédié aux entreprises de l'ingénierie et de l'informatique

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retour_femii_forum_entreprises_stages_emplois_epita_paris_2017_evenement_rencontres_etudiants_professionnels_ingenieurs_03.jpgPermettant aux étudiants de 4e et 5e années de l'EPITA de rencontrer sur leur campus de nombreux professionnels, le Forum des Entreprises des Métiers de l'Ingénierie et de l'Informatique (FEMII) est l'un des rendez-vous phare du cursus des futurs ingénieurs à la recherche d'un stage ou d'un premier emploi à l'issue de leur diplôme.

Un large de choix d'activités
Sociétés de services (ESN), éditeurs de logiciels, cabinets de conseil, grands utilisateurs ou acteurs majeurs de nombreux secteurs (banque, distribution, hôtellerie, aéronautique...) ayant choisi de se tourner vers l'EPITA pour recruter les profils nécessaires à l'accompagnement de leur transformation numérique : la dernière édition du FEMII réunissait pas moins de 73 exposants sur le Campus Paris Kremlin-Bicêtre au mois d'octobre 2017 pour près de 1 000 opportunités de stage proposées !

retour_femii_forum_entreprises_stages_emplois_epita_paris_2017_evenement_rencontres_etudiants_professionnels_ingenieurs_02.jpgUne ouverture à l'international
Également ouvert sur le monde, le FEMII s'est également distingué cette année en accueillant plusieurs entreprises installées à l'étranger... et pas n'importe lesquelles ! Ainsi, en plus de Deloitte Luxembourg et KPMG Luxembourg, les divisions britanniques de Facebook, Bloomberg et Expedia ont particulièrement intéressées les étudiants présents, tout comme Nvidia, la célèbre société californienne déjà présente l'an dernier et chez qui six EPITéens de la promotion 2016 ont réalisé leur stage de fin d'études.

retour_femii_forum_entreprises_stages_emplois_epita_paris_2017_evenement_rencontres_etudiants_professionnels_ingenieurs_04.jpgLes Anciens, toujours au rendez-vous
Si, sur les stands des exposants, il n'est pas rare de croiser un ou une Ancien(ne) de l'EPITA venus échanger avec les promotions actuelles, le FEMII accueille également régulièrement des entreprises créées et dirigées par des ingénieurs « made in EPITA ». Cette année, l'école était heureuse de pouvoir compter sur la présence de Commanders Act, la société de marketing numérique experte en data de François Langrand (EPITA promo 2003), de Jump Informatique, l'éditeur de progiciels spécialisé dans la finance de marché derrière laquelle se cache Emmanuel Fougeras (promo 2002), et de Realytics, la start-up spécialisée dans l'analyse de l'impact online des campagnes de pub TV, cofondée par Guillaume Belmas (promo 2004), Sébastien Monteil (promo 2005) et Vincent Nguyen-Huu (promo 2010).

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Ils ont participé à l'édition 2017 du Forum des Entreprises des Métiers de l'Ingénierie et de l'Informatique de l'EPITA :
ACCENTURE, ACCORHOTELS, ADACORE, ADVANS GROUP, AVISTO ELSYS, AIR LIQUIDE, ALGOFI, ALTEN, AP-HP, AUBAY, AXA, BEARINGPOINT, BEIJAFLORE, BLOOMBERG LP, BNP PARIBAS, BOUYGUES TELECOM, CAPGEMINI TECHNOLOGY SERVICES, CARREFOUR, CGI, CNPTI, INFORMATIQUE CDC, CRITEO LABS, DASSAULT SYSTEMES, DELOITTE, DEVOTEAM, DXC TECHNOLOGY, DXO, EXPEDIA, FACEBOOK, GROUPE CANAL+, GROUPE PACTE NOVATION, HPE, IBM FRANCE, INVIVOO, ITESOFT, JUMP, KEYRUS, KPMG LUXEMBOURG, LINKVALUE, MARGOCONSEIL, MATTERS, MAZARS, MC2I GROUPE, METANEXT CONSULTING, MUREX, NATIXIS, GROUPE BPCE, NETATMO, NETXP, NEXWORLD, NOKIA, NVIDIA, OCTO TECHNOLOGY, ORACLE FRANCE, ORANGE, OXYA, QUANTMETRY, REALYTICS, COMMANDERS ACT, SAGEMCOM, SCALITY, SEWAN, SMART, SMILE, SOCIÉTÉ GÉNÉRALE, SOFTBANK ROBOTICS EUROPE, SOFTEAM GROUP, SOGETI, SOPRA STERIA, SQUARE IT SERVICES, THALES, VADE SECURE, VENTE-PRIVÉE.COM, WAVESTONE, WINAMAX

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Quand l'EPITA et le Groupe IONIS se mobilisent contre le sida

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Organisée du lundi 27 novembre au vendredi 1e décembre, la 11e édition de la campagne nationale IONIS en veille contre le sida a une nouvelle fois mobilisé toutes les écoles et entités du Groupe IONIS.

Durant cette semaine, 27 000 étudiants répartis sur 14 villes de France ont ainsi organisé des conférences, des soirées, des compétitions sportives (telle qu'une course caritative au bois de Vincennes) ainsi que de nombreuses ventes (gâteaux, porte-clés, préservatifs, etc.) afin de récolter des fonds tout en informant et sensibilisant autour de cette maladie qui, en France, concerne aujourd'hui environ 153 000 personnes dont 25 000 ignorent encore être séropositives. Grâce à l'ensemble de ces actions, près de 10 000 € ont été récoltés lors de l'événement. La somme sera reversée à différentes associations, comme Sidaction et Aides, partenaires de IONIS en veille contre le sida.

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Palmarès de l'Étudiant 2018 des écoles d'ingénieurs : l'EPITA toujours au top !

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Comme chaque année, l'Étudiant dévoile la nouvelle édition de son palmarès des meilleures écoles d'ingénieurs de France en proposant aux lycéens d'établir leur propre classement grâce à la sélection des critères les plus significatifs à leurs yeux.

classement_palmares_l-etudiant_2018_ecoles_ingenieurs_epita_critetes_avenir_industrie_tic_technologies_information_salaire_sortie_international_bacheliers_reseau_anciens_01.jpgAinsi, si vous êtes élève en Terminale S et que vous souhaitez intégrer une grande école d'ingénieur du numérique dans l'optique de travailler dans les secteurs des industries et services des technologies de l'information (TIC) en aspirant à obtenir le meilleur salaire à la sortie de l'école, le tout avec la possibilité de pouvoir travailler à l'étranger dès votre premier poste et de rejoindre un grand réseau d'Anciens connectés, l'EPITA est l'école qu'il vous faut !

En effet, sur la base de ces 6 critères, le classement de l'Étudiant 2018 positionne l'EPITA en tête de toutes les écoles d'ingénieur !

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L'assurance d'intégrer les meilleures entreprises du numérique à la sortie de l'école
Avec 33 % de diplômés de la promotion 2016 de l'EPITA travaillant dans les industries des TIC, 25 % dans les services et 16 % dans le conseil, l'école démontre une nouvelle fois sa capacité à former des ingénieurs sachant répondre aux besoins des grands acteurs comme des startups du secteur.

En savoir plus sur l'insertion professionnelle des diplômés

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Un salaire significatif à la sortie
Le salaire de sortie est un bon indicateur de la valeur estimée des diplômés par les entreprises. À l'EPITA, le salaire moyen de sortie est en progression chaque année et parmi les tous premiers des écoles d'ingénieurs. Les diplômés de l'EPITA sont ainsi embauchés majoritairement avant leur sortie de l'école et, au plus tard, dans les 2 mois après le début de leur recherche d'emploi, à un salaire brut annuel moyen de 42 800 € en France et de 66 800 € à l'étranger (avec primes).

En savoir plus


L'EPITA, une école qui s'affranchit des frontières

Avec un cursus qui fait la part belle à l'international grâce à de multiples partenariats, les étudiants de l'EPITA cultivent le goût du voyage, y compris après l'obtention de leur titre d'ingénieur. Ainsi, avec près de 25 % de jeunes diplômés travaillant à l'étranger pour leur premier emploi, l'EPITA est devenue une école de référence dans la Silicon Valley (Google, Facebook, VMWare...) !

En savoir plus sur la vision internationale de l'EPITA et sur le parcours des Anciens

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La Terminale S, une première étape charnière avec l'ingénierie informatique
Disposant d'un Cycle préparatoire intégré d'un bon niveau scientifique, l'EPITA recrute très majoritairement des bacheliers S : ces derniers représentant même 95 % des nouveaux étudiants rejoignant l'école en 1re année.

En savoir plus sur le Cycle préparatoire

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Plus qu'une école, une grande famille connectée
Les années passées à l'EPITA ne mènent pas seulement à une belle carrière : elles permettent aussi de cimenter une promotion autour d'un état d'esprit unique qui ne cesse de se cultiver bien après le départ de l'école. Ainsi, l'EPITA brille sur le critère concernant le nombre d'Anciens inscrits en 2017 sur la page LinkedIn de l'école. Avec son réseau d'Anciens présents dans plus de 2 000 entreprises, répartis dans plus de 40 pays et forte de son association des diplômés « EPITA Anciens », l'EPITA bénéficie d'un maillage très fort et d'un réseau dynamique.

En savoir plus sur l'association des Anciens et découvrir l'EPITA sur LinkedIn.

Ils ont passé le Concours CPGE pour rejoindre l'EPITA : Titouan Leparoux (promo 2020)

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Le concours commun EPITA / IPSA / ESME permet chaque année aux élèves de classes préparatoires d'intégrer une école d'ingénieurs reconnue pour ensuite devenir des professionnels aguerris dans des technologies de pointe. C'est via ce concours que Titouan Leparoux (EPITA promo 2020) a justement rejoint l'EPITA à la rentrée 2017-2018 pour intégrer la 1re année du Cycle ingénieur.

temoignage_concours_epita_esme_sudria_ipsa_cpge_etudiant_cycle_ingenieur_promo_2020_informatique_prepa_01.jpgQu'est-ce qui t'a poussé à vouloir faire des études d'informatique ?
Titouan Leparoux : Tout a commencé au lycée où, ayant choisi de passer un bac STI2D, j'ai eu l'occasion de faire pas mal d'informatique. Pour autant, n'étant pas encore sûr à l'époque de me diriger là-dedans, j'ai enchaîné sur une Classe préparatoire aux grandes écoles (GPGE) TSI, une classe qui permet de rattraper son niveau vis-à-vis des bacheliers S sans pour autant rentrer en concurrence avec eux. C'est durant cette période que j'ai compris que je me sentais plus à l'aise dans l'informatique plutôt qu'en chimie, en physique ou dans les sciences de l'ingénieur au sens large.

Quand as-tu commencé à t'intéresser à l'EPITA ?
J'ai découvert l'école juste avant mon bac, mais étant encore hésitant sur la suite de mes études, je n'ai pas poussé mes recherches plus loin à ce moment-là. Par contre, quand j'ai su que je voulais réellement faire de l'informatique, je m'y suis de nouveau intéressé, ne serait-ce parce qu'elle proposait un concours associé aux CPGE.

Pourquoi avoir choisi l'EPITA et pas une autre école ?

J'ai d'abord été convaincu par sa renommée. En effet, l'EPITA semblait être plus qu'une simple école tellement j'en attendais parler de partout, notamment par ses Anciens. Son « aura » m'attirait comme sa proportion à être présentes sur de nombreux domaines de l'informatique. Ses bonnes positions dans les différents classements d'écoles d'ingénieurs et son histoire - certaines écoles n'ont que 5 ou 10 ans d'existence alors que l'EPITA a plus de 30 ans - m'ont aussi conforté dans ma décision de tenter ma chance.

Comment s'est passé le concours ?
Il s'est présenté en deux étapes, avec l'écrit d'une part et l'oral de l'autre. Il y a eu une épreuve de mathématiques, de français et de culture générale, mais aussi une épreuve correspondant à l'option que l'on choisissait - pour ma part, j'ai pris l'informatique. Avant le concours, comme je ne connaissais personne qui l'avait passé, je m'étais préparé un peu à ma façon, en pensant que cela allait être assez dur. Au final, cela s'est très bien passé ! J'ai trouvé les épreuves peu difficiles en fin de compte en comparaison avec ce que j'ai pu connaître lors de la CPGE, sauf peut-être celle d'informatique où certaines questions pouvaient être plus pointues.

Depuis, tu as pu intégrer la 1re année du Cycle ingénieur et goûter à la fameuse Piscine. Comment as-tu vécu ce moment charnière du cursus ?
C'était un peu compliqué ! Au début, on est forcément un peu « largué » : on vient d'arriver dans un environnement dans lequel on n'a pas encore l'habitude d'évoluer et on se retrouve à devoir très vite se mettre dans le bain. Les premiers jours ne sont pas évidents, surtout qu'il faut se faire à l'idée que la Piscine se déroule intégralement en anglais, mais ensuite, on prend le pli et on commence à comprendre. Au final, on en ressort grandi, en ayant vraiment le sentiment d'avoir pu apprendre pas mal de choses. Devoir faire des choses, ça oblige à donner le meilleur de soi-même.

Et au niveau de la vie à l'école, comment te sens-tu ?
Cela me plaît beaucoup ! J'ai déjà rejoint pas mal d'associations étudiantes très intéressantes et, malgré un emploi du temps chargé, j'essaye d'y passer le plus de temps possible. Les étudiants que je côtoie sont globalement assez sympas et l'on partage plutôt pas mal de centres d'intérêt communs.

Tu sais déjà quoi faire à la fin de tes études ?

De l'informatique, c'est sûr, mais j'ignore encore dans quel secteur ni domaine. Je me laisse le temps. J'avoue compter sur cette 1re année pour explorer un maximum de domaines et ensuite voir lequel me plaît le mieux.

Enfin, as-tu un conseil aux futurs candidats du concours commun EPITA / IPSA / ESME ?
D'avoir une bonne culture générale et une bonne culture informatique au sens large. C'est cela qui m'a permis de toujours me rattraper face aux difficultés. Il ne s'agit pas d'être forcément un super programmeur, mais plutôt d'être curieux, de se demander comment se compose un ordinateur, etc. C'est un vrai plus !

L'EPITA vous souhaite une bonne année 2018

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Parce qu'il est essentiel de former, d'élever et de révéler les talents de demain, l'ensemble des équipes de l'EPITA et de toutes les entités du Groupe IONIS s'engagent à construire avec vous une année 2018 pleine d'échanges, de rencontres et d'innovations !

Quand Futura Sciences s'intéresse à LyreLand, l'IA musicale conçue par Pierre-Alexandre Veyry, Olivier Laugier et Arnaud Ou (EPITA promo 2017)

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projet_fin_etudes_lyreland_composition_musique_data_SCience_Intelligence_Artificielle_promo_2017_etudiants_epita_01.jpgCet été, l'EPITA vous présentait sept projets de fin d'études des étudiants de la promotion 2017. Parmi ces projets associant innovation et nouvelles technologies, on pouvait notamment trouver LyreLand, l'intelligence artificielle musicale développée par l'équipe de Pierre-Alexandre Veyry, Olivier Laugier et Arnaud Ou. Ce dernier vient justement de faire l'objet d'un article sur le site du magazine Futura Sciences. L'occasion de revenir sur les liens entre la musique et l'IA !

Lire l'article sur le site de Futura Sciences

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Parcours d'EPITéenne : rencontre avec Juliette Tisseyre (promo 2014), software Engineer en R&D chez Margo Conseil

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Ancienne de la Majeure Data Science et Intelligence Artificielle (SCIA) et « geek » autoproclamée, Juliette Tisseyre (EPITA promo 2014) vit aujourd'hui à Londres. Outre-Manche, elle travaille en tant que software engineer en R&D pour Margo Conseil, une entreprise franco-anglaise à l'origine de CodeCase, un outil de correction automatique de code. Dans cette nouvelle vidéo de la série Parcours d'EPITéen, elle revient sur les spécificités de son métier et les technologies qu'elle est amenée à côtoyer au quotidien, tout en partageant ses souvenirs de l'EPITA.

Retrouvez Juliette Tisseyre sur LinkedIn et Twitter


À propos de Parcours d'EPITéen :
Parcours d'EPITéen est une série d'interviews vidéo de diplômés de l'EPITA. Ils reviennent sur leur carrière, présentent leur métier et donnent leurs conseils aux étudiants de l'école.

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