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Les projets de la promo 2019 – une autre façon d’utiliser la réalité augmentée

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Les projets de la promo 2019 – une autre façon d’utiliser la réalité augmentée

Un kakémono « augmenté » et une lampe pilotée via une interface en réalité augmentée : voilà les Projets de Fin d’Etudes avec Entreprise (PFEE) sur lesquels ont pu travailler Ronan Cendrier, Antoine Clop et Alexandre Toubiana (EPITA promo 2019) lors de la 5e année passée au sein de la Majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) en collaboration avec 3ie, le laboratoire d’innovation de l’école.



Quel était le concept de « Hue AR » et « Poster AR », vos deux projets ?

Antoine : Ces deux projets avaient pour but d’être présentés lors des futures Journées Portes Ouvertes de l’école. D’un côté, il y avait donc « Hue AR », un projet consistant à la création d’une application permettant de contrôler les ampoules connectées Philips Hue en les regardant avec la caméra du smartphone. De l’autre, il y avait une application de réalité augmentée servant cette fois-ci à afficher sur un poster des vidéos, des objets et des images 3D présentant les activités de 3ie.

 

Comment sont-ils nés ?

Antoine : En général, les EPITéens qui se lancent dans un PFEE ont le choix de l’entreprise associée. Dans notre cas, ce fut différent car, durant notre cursus, nous travaillions déjà au sein de 3ie. Nous avons donc relevé ce défi lié à l’usage et l’expérimentation de nouvelles technologies, notamment la réalité augmentée partagée entre plusieurs appareils.

 

Quel est l’avantage de travailler chez 3ie en parallèle à ses études à l’EPITA ?

Antoine : Cela nous permet d’aller plus loin dans l’exploration de certaines technologies et d’évoluer dans un cadre professionnel. Quand on travaille chez 3ie, on a des clients en face de nous et cela change tout ! Pour un projet académique, on se focalise sur la note finale à obtenir. Pour un projet avec 3ie, c’est comme en entreprise : on travaille conjointement avec les chefs de projet qui suivent l’avancée de la réalisation, on fréquente d’autres profils comme des designers, on réalise des sprints… L’organisation est aussi intéressante que rigoureuse et les expertises se mélangent. On gagne vraiment en expérience.

 

Quel a été le plus gros challenge à surmonter ?

Antoine : Probablement le fait de pouvoir estimer la distance de la lampe depuis la caméra, dans le cadre du projet « Hue AR ». Pour réussir, il fallait pouvoir apporter une notion de profondeur. Cela a nécessité de nombreuses expériences. Après, comme pour l’ensemble des réalisations touchant à de nouvelles technologies, nous avons également rencontré des difficultés pour s’approprier ces dernières du fait du manque d’informations présentes sur le sujet.

 

Quel est l’intérêt de choisir la Majeure MTI quand on étudie à l’EPITA ?

Antoine : Les Majeures de l’EPITA sont toutes différentes et présentent toutes des avantages. Si l’on aime travailler sur des applications mobiles, la réalité virtuelle ou la réalité augmentée par exemple, le choix d’aller en MTI est plus logique. C’est une question de goût. La Majeure permet aussi de découvrir et d’expérimenter pas mal de technologies que l’on ne côtoie pas forcément tous les jours : on acquiert ainsi des compétences très intéressantes et assez rares qui nous serviront après l’EPITA.


Projet étudiants MTI

Projet étudiants MTI

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L’EPITA était présente aux côtés des Combattantes@Numérique !

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L’EPITA était présente aux côtés des Combattantes@Numérique !

Pour lutter contre la pénurie des talents dans le secteur du numérique, l’EPITA a rejoint le ministère des Armées lors de Combattantes@Numérique, le jeudi 4 juillet 2019 à l’École Militaire (Paris 7e). Durant cette journée, de nombreuses professionnelles du monde informatique travaillant au sein du ministère des Armées et ailleurs ont ainsi pu présenter leur parcours et leurs métiers afin de sensibiliser les participants aux enjeux de la diversité dans la construction du monde numérique de demain et, surtout, démontrer aux jeunes filles présentes que le numérique a besoin de tous les talents !

Florence Parly

Durant cette initiative qui, comme l’expliqua Florence Parly, la ministre des Armées, a permis « de braquer les projecteurs vers des parcours, des histoires inspirantes et qui méritent d’être racontées, entendues et largement diffusées », Agathe Hinsberger (EPITA promo 2019) était aussi présente. Actuellement en stage de fin d’études dans l’univers de la cybersécurité, cette étudiante ayant contribué à la rédaction du premier livre blanc « Cybersécurité & Innovations » explique pourquoi elle a accepté de participer à cette opération.


Agathe Hinsberger


Quel est ton parcours ?

Agathe Hinsberger : J’ai intégré l’EPITA directement en Cycle préparatoire après un Bac S option informatique. En 2e année, je suis partie en Corée du Sud dans le cadre d’un échange universitaire et, sur place, j’ai pu suivre mes premiers cours en cybersécurité. Comme cela m’avait beaucoup plu, j’ai souhaité spécialiser la suite de mon cursus d’ingénieurs dans ce domaine, en rejoignant la Majeure Systèmes, Réseaux et Sécurité(SRS). Au final, j’ai adoré ces dernières années : SRS est une Majeure très complète, avec des cours théoriques et pratiques ainsi que des intervenants professionnels qui partagent leur vécu et leurs expériences, ce qui nous permet de ne pas être décalés par rapport à la réalité des entreprises. Par exemple, je suis actuellement en stage de fin d’études au sein de la direction des systèmes d’information du cabinet de conseil Wavestone. Et bien je ne me sens pas du tout perdue, tant sur les tâches et missions qui me sont confiées que sur les outils avec lesquels je travaille. L’EPITA m’a permis d’acquérir toutes les notions et compétences nécessaires.

 

Pourquoi la sécurité informatique te plaît tant ?

Dans ce domaine, on découvre chaque jour quelque chose de nouveau. Il y a toujours un nouvel outil, une nouvelle attaque, des progrès énormes réalisés… Quand on part au travail le matin, on sait à l’avance que l’on ne fera pas la même chose que la veille !

Le manque de femmes dans le numérique, c’est un vrai problème pour toi ?

Même si la cybersécurité est un domaine à part, je pense qu’il n’y a clairement pas assez de femmes dans l’informatique et le numérique. Ces secteurs manquent de diversité alors que, selon moi, voir des hommes et des femmes travailler ensemble permet d’avoir un meilleur dynamisme et des façons de penser différentes. Pour le coup, au sein de la DSI de Wavestone, nous sommes autant d’hommes que de femmes et je trouve que l’ambiance est vraiment bien meilleure, avec une synergie très intéressante. De façon générale, il ne faut surtout pas croire aux préjugés sur le sujet disant que les femmes dans le numérique, cela n’existe pas, qu’elles ne savent pas coder, etc. C’est faux et tout le monde est capable de réussir en informatique. Il suffit d’apprendre !

C’est pour cela que tu as accepté de participer à cette journée ?

Pour moi, c’est important de pouvoir donner l’exemple. Il y a 5 ans, alors que j’étais déjà intéressée par l’informatique et parcourais les salons étudiants ou visitais les écoles pour préparer mes études, je ne croisais quasiment aucune fille ! Pourtant, j’aurais aimé pouvoir échanger avec des filles et des femmes à ce moment-là. Je me souviens aussi d’enseignants de mon lycée qui m’expliquaient que l’informatique ne pouvait pas être quelque chose pour moi parce que j’étais une fille : là encore, j’aurais apprécié que quelqu’un d’autre vienne me voir pour me dire « Non, c’est faux : tu peux le faire ! D’autres réussissent très bien alors pourquoi pas toi ? ». En participant à cette journée, je voulais combattre ça !


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International : l’EPITA reçoit le Label Bienvenue en France

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International : l’EPITA reçoit le Label Bienvenue en France

Instauré officiellement cette année par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Label Bienvenue en France a été décerné à l’EPITA ce lundi 8 juillet par Campus France. Remis par la ministre Frédérique Vidal à l’occasion des « Rencontres Campus France de la Recherche et de l’Innovation » organisées du 8 au 10 juillet à la Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris), ce label souligne la qualité de l’accueil des étudiants internationaux mis en place par l’EPITA depuis de nombreuses années.


De gauche à droite : Nazima Canda, directrice des relations internationales, Joël Courtois, directeur général de l’EPITA, Stéphanie Chatelet, coordinatrice des programmes internationaux et Rabih Haddad, directeur des programmes internationaux


L’EPITA, toujours plus reconnue pour son accueil des étudiants étrangers

D’une durée de quatre ans, le label « Bienvenue en France » est validé par une commission indépendante et décerné selon cinq critères : la qualité et l’accessibilité de l’information, la qualité et l’accessibilité des dispositifs d’accueil, la qualité et l‘accessibilité de l’offre de formation et de l’accompagnement des enseignements, le logement et la qualité de la vie de campus, la qualité de suivi post-diplômant.

Pour l’EPITA, cette attribution témoigne de la volonté de l’école à améliorer chaque année l’intégration de ses étudiants étrangers venus de tous les continents pour bénéficier de l’expertise de l’école en matière d’ingénierie informatique, aussi bien lors d’un semestre d’échange académique que pour des programmes internationaux diplômants.



Pour favoriser leur intégration en France, les étudiants internationaux de l’EPITA suivent tous des cours de français dans le centre de Français Langue Étrangère (FLE) de l’EPITA. Depuis 2015, il bénéficie du label qualité FLE avec 3 étoiles sur les 5 critères, un label décerné par l’État avec comme critères de qualité : la formation offerte, la démarche qualité de toute l’équipe pédagogique y officiant, l’accueil proposé aux étudiants internationaux ainsi que les locaux et la gestion de l’école.


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Les projets de la promo 2019 – la synchronisation de caméras à bas coûts

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Les projets de la promo 2019 – la synchronisation de caméras à bas coûts

Pour leur projet de fin d’études réalisé en 5e année au sein de la Majeure Génie Informatique des Systèmes Temps Réel et Embarqués (GISTRE), Julien Gautier, Tifanny Suyavong, Adrien Stalain et Grégoire Verdier (EPITA promo 2019) ont travaillé sur un dispositif de synchronisation de caméras pour des modules 180° et 360°, sujet proposé et encadré par l’équipe de recherche en robotique d’exploration SEAL. Leurs efforts leur ont permis de mettre au point un prototype fonctionnel qui, à l’avenir, pourrait bien changer la donne dans le monde de la modélisation 3D d’un point de vue financier comme l’explique Adrien.


Projet étudiants GISTRE


Quel est le concept de votre projet ?

Adrien : Pour plein d’applications possibles, on a envie d’avoir des caméras capables de prendre des clichés en même temps, à plus ou moins 1 milliseconde de décalage. Par exemple, si l’on veut reconstruire un modèle en 3D, il faut prendre l’objet en photo sous chaque angle afin d’ensuite le reconstituer en 3D via des algorithmes. Or, si l’objet en question bouge, les photos doivent absolument être prises au même moment, sinon le modèle 3D ne sera pas bon. Il faut savoir que de tels appareils existent déjà, mais qu’ils sont très chers et valent plusieurs milliers d’euros. Étant donné leur coût, on ne peut donc pratiquement pas les utiliser sous l’eau ou dans les airs via un drone car les risques d’endommagement liés à l’infiltration ou à un crash sont trop importants. Voilà le concept de ce projet : rendre possible cette technique tout en la rendant moins onéreuse.

 

Comment vous y êtes-vous pris ?

Adrien : Nous utilisons des Raspberry Pi 3B+ et Zero avec des Pi Cams. Le prix d’un Raspberry Pi comme d’une Pi Cam équivaut à 20 euros l’unité, ce qui est largement plus abordable. Notre mission consistait ensuite à les synchroniser. Au début, nous avons fait un test simple, en réalisant un petit script rapide capable de faire des photos en même temps : le décalage entre les photos était alors d’une quarantaine de millisecondes. Petit à petit, essai après essai, nous avons amélioré cette performance, notamment à travers les modifications de la configuration du système d’exploitation ou du programme en lui-même. Au moment de présenter le projet à l’EPITA, le décalage était descendu à 8 millisecondes, mais avec du travail supplémentaire, ce laps de temps pourrait encore diminuer. En effet, le projet nous a d’abord demandé de passer beaucoup de temps à concevoir les bases du système puis le processus de la phase de test. Une fois ces étapes passées, nous avons pu nous concentrer sur l’optimisation. Les étudiants de l’EPITA qui récupéreront le projet auront pour mission de maîtriser complément le système pour tenter d’arriver à atteindre ce seuil de 1 milliseconde. Pour moi, c’est un objectif atteignable.


 

Projet étudiants GISTRE


Le projet est très intéressant techniquement, mais aussi d’un point de vue commercial sachant le différentiel de prix entre les appareils professionnels et votre solution.

Adrien : C’est vrai. Nous n’avons pas fait de recherches en profondeur du côté des amateurs, mais chez les professionnels, il n’y a pas d’équivalent en matière de coût.

 

Quel a été le défi le plus passionnant à relever ?

Adrien : Sans doute faire fonctionner ensemble plusieurs systèmes différents et les délester de certaines options pour améliorer le processus. Tout configurer est forcément intéressant. Pour ma part, cela m’a permis d’apprendre de nouvelles choses sur Linux par exemple.

 

Enfin, quel est l’intérêt de choisir la Majeure GISTRE quand on étudie à l’EPITA ?

Adrien : Pour quelqu’un qui s’intéresse aux systèmes, c’est une Majeure très intéressante. Mais GISTRE, ce n’est pas que ça : on touche aussi à l’électronique, à l’embarqué, aux objets connectés… Enfin, la Majeure octroie pas mal de temps pour se consacrer à des projets personnels. Cela permet d’explorer encore d’autres domaines, d’aller plus loin. C’est ce qui m’a permis de trouver un stage à Orange Labs sur la preuve formelle sur des microprocesseurs : j’avais étudié les microprocesseurs en cours et la preuve formelle sur mon temps libre.


Projet étudiants GISTRE

Projet étudiants GISTRE

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Les projets de la promo 2019 – une autre façon d’utiliser la réalité augmentée

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Les projets de la promo 2019 – une autre façon d’utiliser la réalité augmentée

Un kakémono « augmenté » et une lampe pilotée via une interface en réalité augmentée : voilà les Projets de Fin d’Etudes avec Entreprise (PFEE) sur lesquels ont pu travailler Ronan Cendrier, Antoine Clop et Alexandre Toubiana (EPITA promo 2019) lors de la 5e année passée au sein de la Majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI) en collaboration avec 3ie, le laboratoire d’innovation de l’école.



Quel était le concept de « Hue AR » et « Poster AR », vos deux projets ?

Antoine : Ces deux projets avaient pour but d’être présentés lors des futures Journées Portes Ouvertes de l’école. D’un côté, il y avait donc « Hue AR », un projet consistant à la création d’une application permettant de contrôler les ampoules connectées Philips Hue en les regardant avec la caméra du smartphone. De l’autre, il y avait une application de réalité augmentée servant cette fois-ci à afficher sur un poster des vidéos, des objets et des images 3D présentant les activités de 3ie.

 

Comment sont-ils nés ?

Antoine : En général, les EPITéens qui se lancent dans un PFEE ont le choix de l’entreprise associée. Dans notre cas, ce fut différent car, durant notre cursus, nous travaillions déjà au sein de 3ie. Nous avons donc relevé ce défi lié à l’usage et l’expérimentation de nouvelles technologies, notamment la réalité augmentée partagée entre plusieurs appareils.

 

Quel est l’avantage de travailler chez 3ie en parallèle à ses études à l’EPITA ?

Antoine : Cela nous permet d’aller plus loin dans l’exploration de certaines technologies et d’évoluer dans un cadre professionnel. Quand on travaille chez 3ie, on a des clients en face de nous et cela change tout ! Pour un projet académique, on se focalise sur la note finale à obtenir. Pour un projet avec 3ie, c’est comme en entreprise : on travaille conjointement avec les chefs de projet qui suivent l’avancée de la réalisation, on fréquente d’autres profils comme des designers, on réalise des sprints… L’organisation est aussi intéressante que rigoureuse et les expertises se mélangent. On gagne vraiment en expérience.

 

Quel a été le plus gros challenge à surmonter ?

Antoine : Probablement le fait de pouvoir estimer la distance de la lampe depuis la caméra, dans le cadre du projet « Hue AR ». Pour réussir, il fallait pouvoir apporter une notion de profondeur. Cela a nécessité de nombreuses expériences. Après, comme pour l’ensemble des réalisations touchant à de nouvelles technologies, nous avons également rencontré des difficultés pour s’approprier ces dernières du fait du manque d’informations présentes sur le sujet.

 

Quel est l’intérêt de choisir la Majeure MTI quand on étudie à l’EPITA ?

Antoine : Les Majeures de l’EPITA sont toutes différentes et présentent toutes des avantages. Si l’on aime travailler sur des applications mobiles, la réalité virtuelle ou la réalité augmentée par exemple, le choix d’aller en MTI est plus logique. C’est une question de goût. La Majeure permet aussi de découvrir et d’expérimenter pas mal de technologies que l’on ne côtoie pas forcément tous les jours : on acquiert ainsi des compétences très intéressantes et assez rares qui nous serviront après l’EPITA.


Projet étudiants MTI

Projet étudiants MTI

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Le Forum Stages et Emplois 2019 de l’EPITA vu par les étudiants et les entreprises

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Le Forum Stages et Emplois 2019 de l’EPITA vu par les étudiants et les entreprises

Du lundi 7 au vendredi 11 octobre, le campus parisien de l’EPITA a fait la part belle aux entreprises ! En plus d’une trentaine de conférences destinées aux étudiants de 5e année et animées par un large panel de sociétés innovantes (Ubisoft, Google, Capgemini…), la 40e semaine de conférences technologiques de l’école a également accueilli une nouvelle édition du Forum des entreprises des métiers de l’ingénierie et de l’informatique (FEMII), les 8 et 9 octobre. Rassemblant 72 entités, ce Forum Stages et Emplois a permis aux futurs ingénieurs de l’école d’explorer différents univers et d’échanger avec des professionnels pour mieux anticiper demain. EPITéens et représentants d’entreprises (dont plus de 100 Anciens) reviennent sur ce moment particulier où les barrières se lèvent et les opportunités se créent.


FEMII 2019


Bastien Griffet (EPITA promo 2020), Majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI)

« Je me suis rendu au Forum pour trouver le meilleur stage de fin d’études possible, mais j’en ai aussi profité pour découvrir les différentes entreprises, voir les missions et opportunités qu’elles proposent. Les professionnels présents étaient vraiment attentifs à nos compétences et aucun d’entre eux ne m’a dit que mon profil ne correspondait pas à ce qu’ils recherchaient. C’est agréable d’avoir en face de nous des personnes qui connaissent bien l’école et notre formation, surtout quand on se pose pas mal de questions. Il y a tellement de possibilités après l’EPITA que l’on se demande toujours quoi choisir. Ce forum est l’occasion d’en savoir plus sur les différents métiers, sur le contexte des entreprises, etc. C’est un bon moyen de tâter le marché. Pour ma part, je suis tenté par le social engineering en Back-End ou sur des problématiques algorithmiques et les entreprises que j’ai vues, comme la Société Générale ou IBM, se sont montrées très intéressées. »

 

Frédéric de Nanteuil (EPITA promo 1994), responsable de projets dans le milieu bancaire chez Sopra Banking Software (Sopra Steria)

« C’est toujours important de connaître les jeunes ingénieurs qui arrivent sur le marché de l’emploi. La vitalité de Sopra Steria est aussi liée à ces profils : ce sont eux qui nous amènent la nouveauté, font découvrir les nouvelles technologies à nos clients et nous poussent vers l’avant, pour continuer à progresser et grandir. Maintenir ce contact est donc très important à nos yeux. Comme nous travaillons sur différents secteurs, nous recherchons des compétences très diverses, dans le domaine de la cybersécurité comme de la banque. »


FEMII 2019


Rabeb Jaouadi (EPITA International promo 2020), Master of Computer Science, Software Engineering

« Je dois trouver un stage pour le mois de février. Avec ce Forum, l’école sert d’intermédiaire entre les étudiants et les entreprises sur le marché. On peut discuter avec des sociétés, voir ce qu’elles proposent, en savoir plus sur leurs métiers, leurs attentes… On y rencontre des entreprises réputées et d’autres que l’on ne connaissait pas. C’est surtout là l’intérêt d’un tel événement : il y a des entreprises qui n’auraient pas forcément attiré notre attention sur Internet mais qui, après une discussion en face à face, peuvent nous donner des idées pour l’avenir ou simplement l’envie de les rejoindre. Moi, je fais du développement, du C++, du Back-End… et j’étais venue pour cela, avec en tête une poignée d’entreprises à voir absolument. Mais cela ne m’a pas empêchée d’aller aussi sur d’autres stands. J’ai donné mes quatre CV aux entreprises que j’avais ciblées et je suis très confiante pour la suite ! »

 

Karim Djendoubi, DSI à Winamax

« Nous recrutons des profils de l’EPITA depuis près de 10 ans maintenant. Ils sont reconnus comme très compétents, notamment sur les technologies qui nous intéressent : ils maîtrisent le développement C++, portent une culture DevOps et présentent un réel attrait pour les services Internet, en l’occurrence les services de jeu présents chez nous. Nous recherchons avant tout des profils ayant cette capacité à apprendre et à évoluer, mais aussi une rigueur et une ouverture d’esprit. Chez nous, on aime pouvoir échanger, communiquer, recevoir des retours constructifs et en donner également. On souhaite aussi que la personne qui nous rejoint possède une culture plus large, pour lui permettre d’appréhender différentes problématiques : comme nous avons des équipes assez petites et autonomes, nous n’avons pas pour objectif de cloisonner les gens dans une tâche bien précise. Ces qualités, on les retrouve chez les ingénieurs de l’EPITA et c’est pour cela que nous revenons chaque année à leur rencontre. Nous sommes à 100 % fans d’eux ! »


FEMII 2019


Marie-Anne Grand (EPITA promo 2020), Majeure MTI

« Comme je cherche un stage à l’étranger, j’ai voulu venir à la rencontre de plusieurs entreprises lors du Forum. Pour moi, l’humain reste la meilleure façon de trouver un stage plutôt que de remplir un formulaire sur un site Internet. Certaines sociétés m’ont agréablement surprise : je ne pensais pas leur laisser mon CV au départ, mais après avoir échangé avec elles, j’ai fini par leur donner mes contacts. Pour l’instant, je souhaite idéalement devenir full stack ou iOS developer, deux choses que j’ai particulièrement aimées durant mes études. »

 

Richard Terrain (EPITA promo 1993), directeur de projet à la Société Générale

« L’objectif pour nous, c’est de rencontrer des personnes pouvant potentiellement intégrer nos équipes au travers d’un stage ou d’une embauche. Comme beaucoup de gens sur la place de Paris, nous recherchons des développeurs Java, C++ et C#, mais aussi des data scientists et d’autres profils. Finalement, nous recherchons avant tout des esprits. Bien sûr que des personnes ultra spécialisées sur un domaine particulier nous intéressent, mais nous sommes avant tout attentifs à des personnes motivées, qui souhaitent faire avancer une entreprise qui elle-même avance. Et à l’EPITA, il y a des profils justement très intéressants. Ils ont un niveau de technicité et un esprit d’entrepreneurs que l’on apprécie. »


FEMII 2019


Ines Bargach (EPITA promo 2020), Majeure Système d’Information et Génie Logiciel (SGIL)

« Même si j’ai déjà une proposition de stage, je voulais voir les différentes entreprises, leurs offres et connaître leurs activités. J’ai parlé avec plusieurs entités, y compris certaines qui ne faisaient pas partie de ma short list au départ, pour des échanges souvent très intéressants et constructifs. J’ai récupéré des offres et des contacts, ce qui va me permettre de faire mon choix par la suite. De toute façon, je ne sais pas encore quel serait mon métier idéal : je pense qu’il faut avant tout vivre un métier et l’expérimenter pour voir si c’est bien celui qui vous convient. »

 

Sarah Onfray (EPITA promo 2021), Back-End developer chez Numberly (1000mercis Group)

« J’avais entendu parler de Numberly via une amie qui y faisait son stage, dans le domaine de l’UX/UI. Elle me vantait l’ambiance géniale, l’entraide entre les employés, etc. Alors, quand l’entreprise est venue à l’EPITA pour un Job Dating l’an dernier, j’ai voulu en savoir plus et échanger avec les représentants des ressources humaines présents. Le courant étant bien passé, j’ai décidé de postuler chez eux. Du coup, je suis venue au Forum de l’EPITA afin de pouvoir partager mon expérience avec les autres étudiants, expliquer ce que fait l’entreprise avec mes propres mots, de façon plus informelle, et aussi en savoir plus moi-même sur les différentes offres que peut proposer Numberly, pour un éventuel futur stage ou un CDI. »


FEMII 2019


Romain Labat (EPITA promo 2018), IT DevOps Engineer chez KPMG Luxembourg

« Nous sommes venus à l’EPITA pour donner de la visibilité à notre entreprise basée au Luxembourg en échangeant directement avec les étudiants et leur donner envie de venir travailler chez nous. KMPG est un Big Four de l’audit financier et IT : on recherche des profils en DevOps, en cybersécurité, en IT advisory… Pour ma part, j’ai justement découvert KPMG lors d’une précédente édition du Forum de l’EPITA alors que j’étais encore étudiant. J’y étais allé pour mon stage à l’étranger et je n’ai jamais regretté mon choix : le Luxembourg représente une solution de facilité étant donné sa proximité avec la France et KPMG est une très grande entreprise, avec des projets passionnants et une très grosse multiculturalité à travers la quarantaine de nationalités qui y travaillent. C’est une très belle expérience et un plus sur le CV. »

 

Fernando Borja (EPITA promo 2020), Majeure SIGL

« Je suis venu au Forum pour chercher et peut-être trouver un stage, mais au-delà de juste donner mon CV, j’ai surtout profité de l’événement pour discuter avec les entreprises. C’est la possibilité d’avoir de vrais échanges de connaissances et d’expériences. C’est toujours très enrichissant. Le premier jour, je n’ai vu que trois entreprises parce que j’ai vraiment passé du temps avec elles : par exemple, j’ai passé près d’une heure et demi à parler avec un DSI sur les problèmes d’architecture de son entreprise. J’ai pu lui donner des idées de solutions et lui, en retour, a pu me donner des conseils avant de fixer un rendez-vous pour un entretien d’embauche. Moi, je souhaite me diriger vers le DevOps : de ce fait, j’allais vers les entreprises en leur signifiant mon désir et elles m’expliquaient quels sujets en interne pourraient correspondre à mon envie. Certaines m’ont proposé de devenir consultant, d’autres de devenir développeur afin de mettre en place des outils. Bref, les choix proposés sont larges et permettent de trouver l’offre qui nous correspond le mieux ! »


FEMII 2019


Laurent Trébulle, directeur des Relations Entreprises de l’EPITA

« Cette année, c’était la 20e édition du Forum Entreprises de l’EPITA. D’année en année, l’événement a pris de l’ampleur, ce qui nous oblige malheureusement à devoir refuser certaines entreprises par manque de place ! Cependant, comme l’EPITA va compter de plus en plus d’étudiants dans les années à venir, notamment grâce à la récente ouverture de ses campus en régions, on espère pouvoir faire évoluer encore la formule prochainement.

Pour cette édition 2019, on retrouvait nos fidèles partenaires, mais aussi de nouvelles entités, notamment dans le domaine de l’industrie 4.0, telles que RTE ou Vallourec. Ces entreprises viennent à l’EPITA pour recruter des profils d’ingénieurs très techniques et surtout des jeunes ayant de fortes attentes par rapport aux projets qui leur sont proposés. Comme chaque année, nous avons aussi accueilli des entreprises étrangères, comme par exemple les luxembourgeoises Deloitte ou KPMG, car nos étudiants ont une appétence particulière pour l’international, 20 % des diplômés débutant leur carrière hors de France. Enfin, ce Forum était aussi un bon moyen de plonger dans tous les domaines de l’IT, avec aussi bien des grandes ESN comme Sopra Steria, parrain de la promotion 2020, des éditeurs de logiciels comme Murex ou Dassault Systèmes ou encore des cabinets de conseils, des grands comptes… »


FEMII 2019

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L’EPITA présente « Internet is a Biche ! », une micro-série d’animation spéciale cybersécurité   

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L’EPITA présente « Internet is a Biche ! », une micro-série d’animation spéciale cybersécurité   

La cybersécurité, ce n’est pas que le travail des ingénieurs en informatique et des développeurs : c’est aussi l’affaire de tous. Pour sensibiliser le grand public et notamment les plus jeunes aux cyber risques du quotidien et leur permettre d’adopter les bons réflexes, l’EPITA s’est associée à deux autres écoles du Groupe IONIS, e-artsup et l’ISEG, pour lancer la campagne vidéo « Internet is a Biche ! ».



Tous les jours, du 5 au 11 novembre, sur la chaîne YouTube de chaque école ainsi que sur leurs réseaux sociaux (Facebook, Twitter et LinkedIn), une nouvelle vidéo de « Internet is a Biche ! » sera ainsi dévoilée pour casser le mythe de la sécurité informatique uniquement réservée aux spécialistes ! Imaginés par les étudiants et enseignants des trois écoles, et supervisés par l’expert en protection de l’information Stéphane Calé, ces sept mini-films d’animation sont aussi accompagnés d’un fascicule résumant les bonnes pratiques à ne pas oublier.



Une réponse pédagogique et créative à un vrai problème de société

Objets connectés étranges, mots de passe identiques, ordinateurs publics laissés sans surveillance, sites malveillants ou encore applications peu vertueuses : de multiples situations de la vie courante sont sujettes au piratage de données. D’après le rapport 2019 « State of the Phish » de Proofpoint, ce sont 83 % des personnes interrogées dans le monde qui ont subi des attaques par phishing en 2018, un chiffre à ne pas négliger d’autant plus qu’il est en hausse de 9% par rapport à 2017 ! Voilà pourquoi l’EPITA, e-artsup et l’ISEG se sont engagées à travers cette campagne commune inédite qui associe leurs différentes expertises.


Internet is a biche !


3 expertises pour 1 projet commun 

Initié au mois d’octobre 2018, le projet « Internet is a Biche ! » a permis un réel travail collectif entre les trois écoles. À l’origine du projet, les étudiants de l’EPITA ont ainsi recensé les principaux dangers en matière de sécurité informatique et ont retenu les plus courants dans le quotidien des jeunes. « En identifiant les principales situations à risque en groupe de travail, j’ai constaté que certains ne sont pas acquis par tous et qu’il est en effet nécessaire de sensibiliser les jeunes, bien en amont de leurs arrivées en entreprise, concernant leur utilisation quotidienne des outils digitaux », témoigne pour sa part Maxence Duchet, étudiant en 5e année de la Majeure Système Réseau et Sécurité (SRS).

Pour donner vie à ces scénarios, les étudiants d’e-artsup ont ensuite réalisé les storyboards, les actions des personnages (qui deviendront plus tard les fameuses biches, gentilles ou méchantes) et les animations, accompagnés de leurs professeurs pour les rendus graphiques et techniques. « Notre mission était de diffuser un message de prévention par des vidéos compréhensives et captivantes en 2D ou 3D, détaille Camille Mauduit, étudiante en 3e année du Bachelor Animation à e-artsup Lille. Pour atteindre ce résultat d’animation ludiques et dynamiques, j’ai personnellement amélioré mes compétences graphiques en concevant des personnages et des univers, selon une direction artistique et un parti pris assumés. »

Enfin, les étudiants de l’ISEG ont participé à la réflexion des angles de communication, avec les directions de communication et le consultant Stéphane Calé. Laura Boulay, étudiante en 4e année du MBA Événementiel, Relations publics et e-réputation commente : « Pour sensibiliser la cible grand public que sont les jeunes nous devions réfléchir à un nom de campagne impactant. Le jeu de mot “Internet is a biche” s’est imposé, du fait de son échos à une biche, au doux regard, mais qui peut aussi donner un coup de sabot sournois et s’avérer une situation déplaisante qui conduit aux injures ! ».

 

Envie de découvrir les prochaines vidéos « Internet is a Biche ! » ? Rendez-vous chaque jour sur les réseaux sociaux de l’EPITA ou sa chaîne YouTube !

Et si vous avez envie d’aller plus loin, n’hésitez pas à consulter le « Guide des bonnes pratiques de l’informatique », mis en ligne par l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI). Et découvrez le dispositif d’assistance et de prévention aux victimes d’actes de cybermalveillance : www.cybermalveillance.gouv.fr


Internet is a biche !Internet is a biche !

Internet is a biche !

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Quand les lycées s’immergent dans les nouvelles technologies avec l’EPITA !

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Quand les lycées s’immergent dans les nouvelles technologies avec l’EPITA !

Le mardi 29 octobre, le campus parisien de l’EPITA a reçu la visite de plus d’une centaine de lycéens prêts à plonger dans le grand bain des nouvelles technologies. Nommée EPITA INSIDE, cette journée spéciale leur a permis d’assister à deux conférences sur l’univers de l’ingénierie informatique et l’importance de l’international dans le cursus de l’école, puis de découvrir différents projets de fin d’études d’EPITéens avant de prendre part à cinq ateliers inédits !


EPITA INSIDE octobre 2019


Pensés et animés par les différents laboratoires de l’EPITA en compagnie d’étudiants, ces ateliers emmenaient les participants à la découverte de nombreux domaines passionnants, de la programmation au hacking éthique en passant par l’intelligence artificielle, le traitement d’image ou encore la réalité virtuelle. Une façon pour les lycéens présents de se projeter dans l’avenir. « Je suis venue à l’EPITA car je n’ai aucune idée de ce que je veux faire plus tard, explique ainsi Enora, une élève de 1re. Au final, ce que j’ai vu ici m’a beaucoup plus : cela m’a même donné envie de faire une école d’ingénieurs et de travailler encore plus pour atteindre cet objectif ! J’ai apprécié tous les ateliers et notamment “Spider Master“, où l’on devait rentrer un programme afin de permettre à une araignée robot de réaliser différents parcours. De mon côté, cela s’est plutôt bien passé ! J’ai particulièrement aimé l’interaction : quand on rentrait le code, on pouvait voir concrètement le résultat avec les déplacements de l’araignée. »


 

EPITA INSIDE octobre 2019

L’atelier « Spider Master »

EPITA INSIDE octobre 2019

EPITA INSIDE octobre 2019


« Je me suis retrouvé à construire un moteur d’avion »

Élève de Terminale, Lucas a lui profité d’EPITA Inside pour accentuer encore davantage sa passion pour l’informatique : « En fait, l’année dernière, comme j’adore la programmation, j’étais déjà venu à une Journée Portes Ouvertes de l’EPITA et cela m’avait intéressé. Là, j’ai voulu revenir et je n’ai pas été déçu car le contact avec les étudiants est très facile : ils sont très pédagogues et nous expliquent toujours bien les choses. » Ainsi, Lucas a particulièrement apprécié l’atelier « Apprenez à l’ordinateur à “jouer” ». « Il fallait apprendre à un ordinateur à jouer au morpion, détaille le futur bachelier. Le but, c’est qu’il s’entraîne seul contre un autre ordinateur afin qu’il puisse ensuite jouer une partie ou plusieurs contre un humain. Évidemment, en fonction du nombre d’entraînements, on remarque qu’il devient plus fort et même, au bout d’un moment, imbattable. À la fin, cela se termine soit par une égalité, soit par une victoire pour lui ! » Également attiré par l’informatique (« j’aime ça depuis tout petit »), Nasser affirme aussi avoir appris « beaucoup de choses » lors des ateliers, en particulier celui nommé « Entre la réalité & le virtuel ». « Il m’a vraiment surpris, confie l’élève de 1re. Avec le casque, on fait des trucs que l’on ne peut pas forcément faire en vrai et cela m’a clairement donné envie de travailler dans ce domaine. Par exemple, je me suis retrouvé à construire un moteur d’avion, en devant prendre et assembler différentes pièces et, via une autre application, à devoir aimanter un objet en métal. Honnêtement, je ne savais pas que la réalité virtuelle pouvait aussi servir dans le monde professionnel : pour moi, avant cette journée, je pensais qu’elle était seulement utilisée pour le jeu vidéo. »


EPITA INSIDE octobre 2019

L’atelier « Apprenez à l’ordinateur à “jouer” »

EPITA INSIDE octobre 2019

L’atelier « Entre la réalité & le virtuel » avec 3ie

EPITA INSIDE octobre 2019


« Avec de la motivation, on peut arriver à tout grâce à la programmation »

Aussi ludiques que didactiques, les ateliers ont aussi permis aux jeunes invités d’appréhender l’envers du décor du Net et des logiciels de retouche/traitement d’image. Ainsi, à travers « Chapeau blanc vs chapeau noir », Robin a pu apprendre à gérer l’HTML des sites Internet en passant différents levels d’un site de hacking. « Par exemple, on nous demandait de retrouver un nom et un mot de passe dans le code du site, précise le lycéen de Terminale. Ce n’était pas toujours très facile, mais en cherchant un peu, on y arrivait. C’est ce que j’ai bien aimé avec cet atelier : on nous laissait chercher pas nous-même. Certes, on nous aidait un peu, mais on nous laissait surtout fouiller tout le code avant. C’était d’autant plus intéressant pour moi que je code déjà, en Python par contre. Avec le code, on est libre de faire ce qu’on veut, de tester plein de choses. Avec de la motivation, on peut arriver à tout grâce à la programmation. » Quant à Marie-Alice, élève de 1re, elle a vu avec « Un monde derrière l’image » un bon moyen de cultiver sa passion pour les mathématiques : « On a appris à créer des filtres pour, par exemple, rendre des images moins floues ou retirer le grain de certaines. C’est quelque chose que je connaissais pas du tout ! J’ai vraiment apprécié le fait que ce domaine soit fortement lié aux maths et, maintenant, je comprends mieux comment fonctionne un logiciel comme Photoshop ! » Un atout pour elle comme pour tous les autres participants, dorénavant plus que motivés à l’idée de pouvoir éventuellement travailler un jour dans le monde de l’ingénierie informatique.

Envie de participer à une future Journée d’immersion sur les différents campus de l’EPITA ? Retrouvez toutes les informations sur la page dédiée !


EPITA INSIDE octobre 2019

L’atelier « Chapeau blanc vs chapeau noir » avec le laboratoire LSE

EPITA INSIDE octobre 2019

EPITA INSIDE octobre 2019

L’atelier « Un monde derrière l’image »

 EPITA INSIDE octobre 2019

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Imagerie médicale : la recherche de l’EPITA récompensée en Chine !

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Imagerie médicale : la recherche de l’EPITA récompensée en Chine !

Au mois d’octobre, une délégation de l’EPITA était présente en Chine, à Shenzen, pour participer à l’édition 2019 du MICCAI, la principale conférence internationale dans le domaine du traitement d’image médicale. L’événement accueillait également un concours dédié aux chercheurs : nommé Left Ventricle Full Quantification Challenge (ou LVQuan), il a permis à Élodie Puybareau, co-responsable de la Majeure IMAGE et membre du LRDE, et Zhou Zhao, son doctorant, de terminer à la troisième place, récompensant ainsi les recherches de l’EPITA en matière d’imagerie médicale liée au cœur. Élodie Puybareau revient sur cette expérience qui assoit encore un peu plus l’implication de l’EPITA dans le secteur de la santé.


EPITA x MICCAI 2019

Zhou Zhao et Élodie Puybareau


Quel est l’intérêt de participer à un tel concours ?

Élodie Puybareau : Cela nous permet de vérifier toutes les méthodes que nous développons au laboratoire et voir où l’on se situe vis-à-vis des autres équipes de chercheurs travaillant sur cette thématique dans le monde entier. L’avantage d’un concours, c’est donc d’obtenir une évaluation en direct de nos méthodes.

 

Comment s’est déroulé le LVQuan ?

En général, ce genre de concours se déroule de la manière suivante : les organisateurs donnent aux participants un lot d’images à traiter en spécifiant la problématique. Pour le LVQuan, la problématique consistait à chercher une structure particulière du cœur, en l’occurrence le ventricule gauche. L’idée était donc de récupérer ce ventricule dans des images de cœur fournies par les organisateurs. Nous avons alors commencé à développer une méthode permettant de trouver cette structure et de faire des mesures pour, par exemple, connaître son épaisseur ou comment elle varie dans le temps. Ensuite, lors de tels concours, les organisateurs demandent à ce que les participants leur soumettent directement les codes de leurs méthodes ou ils envoient de nouvelles images à traiter que l’on doit ensuite renvoyer afin qu’ils évaluent le travail.

 

Finalement, combien de temps dure un concours comme le LVQuan ?

Plusieurs mois ! Par exemple, pour le LVQuan, nous avons reçu les images à traiter au mois d’avril. La plupart du temps, la fin des concours a lieu entre fin juillet et septembre. C’est après la fin du concours que nous avons été contactés par les organisateurs pour présenter notre méthode à l’oral. En général, quand un concours vous demande une présentation, cela peut signifier que vous avez obtenu de très bons résultats ou que la méthode employée est très intéressante. Par contre, nous n’avions aucune idée de notre classement : nous l’avons découvert une fois sur place, le 13 octobre, lors du premier jour de la conférence.


EPITA X MICCAI 2019


Quelle a été votre réaction au moment de l’annonce de cette troisième place ?

J’étais particulièrement heureuse, notamment pour mon doctorant Zhou Zhao qui a travaillé sur ces recherches. Il est doctorant à l’EPITA depuis un an et vient de Chine. Il s’agissait à la fois de sa toute première conférence et de sa toute première présentation. Il avait donc un peu de stress, mais il s’est très bien débrouillé et a fait un super travail. Il faut savoir qu’un tout début du concours, il y avait une trentaine de participants. Par la suite, le nombre de participants s’est réduit, avec uniquement dix participants ayant soumis une publication scientifique – certains concours, comme le LVQuan, demandent d’écrire un article de recherche en plus de la soumission des résultats. Enfin, seules quatre publications (dont celle de l’EPITA, nommée « A Two-Stages Temporal-Like Fully Convolutional Network Framework for Left Ventricle Segmentation ») ont été acceptées pour ensuite être publiées dans les actes de la conférence MICCAI via un workshop spécialisé sur l’imagerie cardiaque.

 

Cette troisième place associée à cette publication permet aux chercheurs de l’EPITA de gagner en reconnaissance à l’international ?

Tout à fait ! Même si participer et être bien placé à un concours MICCAI suffit à montrer la qualité des travaux que nous pouvons effectuer, le fait d’avoir également un article scientifique publié est également un grain de visibilité supplémentaire.

 

Quelle technologie est à l’œuvre dans vos méthodes ?

Nos méthodes utilisent le deep learning. Pour faire simple, le deep learning est le fait d’apprendre à un ordinateur/programme à trouver une solution pour nous. On lui dit « voici une image », puis « voici le résultat que je souhaite obtenir » et enfin « à toi de trouver une solution pour y arriver ». Derrière, pour déterminer tout cela, il y a de gros modèles mathématiques. Et aujourd’hui, dans l’imagerie médicale, la majorité des méthodes fonctionnant très bien se base sur du deep learning.

 

Il s’agit de nourrir l’ordinateur pour qu’il puisse agir par lui-même ?

C’est exactement ça. Mais pour réussir, il faut surtout le nourrir intelligemment ! En effet, si vous regardez une photo d’un panier de fruits par exemple, vous allez facilement pouvoir dire s’il s’y trouve une pomme ou non. Or, pour l’ordinateur, cette photo représente juste un tas de pixels. Il faut donc trouver des moyens pour lui apprendre à reconnaître des formes ou des structures dans des images. Dans l’imagerie médicale, toute la difficulté réside dans la très grande diversité dans ces images. De ce fait, si l’on change de repère ou d’orientation, l’ordinateur peut être complètement perdu. D’où ce travail en amont.


EPITA X MICCAI 2019


Par exemple, combien d’images et d’heures de travail ont été nécessaires pour développer la méthode récompensée au MICCAI 2019 ?

Il n’y a pas tellement d’images – la base de données fournie par le concours en comportait 50. Par contre, le nombre d’heures a été conséquent : Zhou Zhao a travaillé dessus à temps plein d’avril à juillet. C’est de la recherche : il a fallu tâtonner avant de trouver ! D’autant qu’un entraînement d’ordinateur, ce n’est pas immédiat. Quand on lui enseigne quelque-chose, il va travailler tout seul et ce temps de travail peut se traduire parfois en plusieurs jours !

 

Depuis combien de temps l’EPITA développe l’imagerie médicale ?

En fait, il y a toujours eu de l’imagerie médicale à l’EPITA, mais la majorité des recherches a longtemps concerné le cerveau, notamment à travers des partenariats avec Telecom ParisTech. Quand je suis arrivée au sein du LRDE, de par mon doctorat et ma passion pour l’imagerie médicale, j’ai essayé de « contaminer » encore plus de monde au laboratoire afin de donner une réelle dynamique médicale à l’équipe. Nous avons commencé les concours MICCAI il y a 3 ans, mais notre diversification a vraiment démarré l’an dernier, avec notre participation à un concours qui nous a permis de voir si nos méthodes pouvaient aussi fonctionner avec des images de cœur. Cela a très bien marché – nous sommes arrivés à la 3e place – et cela nous a confortés dans l’idée que nos potentiels sujets de thèse sur le cœur avaient un réel intérêt. C’est comme cela que la thèse de Zhou Zhao a démarré.


D’où la récente création de la Majeure IMAGE.

Oui, mais pas que ! Avec Guillaume Tochon (l’autre responsable de la Majeure), nous avons imaginé cette filière comme très généraliste, pas uniquement axée médicale. C’était plus la composante traitement d’image du LRDE qui nous a motivés. Mais c’est sûr que comme l’EPITA participe aux concours MICCAI depuis trois ans et y obtient toujours de bons résultats, il nous a semblé indispensable de proposer également des cours liés à l’imagerie médicale. Par exemple, pour ce semestre des étudiants de 3e année, des personnes de chez General Electric Healthcare viendront donner des cours sur le sujet à nos étudiants.


EPITA X MICCAI 2019

EPITA X MICCAI 2019

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L’EPITA et les écoles du Groupe IONIS se mobilisent contre le sida

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L’EPITA et les écoles du Groupe IONIS se mobilisent contre le sida

Comme chaque année, l’EPITA et toutes les écoles du Groupe IONIS se rassemblent pour sensibiliser leurs étudiants et le grand public à travers la campagne IONIS en veille contre le sida !

Ateliers de sensibilisation et de prévention, sessions de dépistage, conférences, récoltes de fonds… Du lundi 25 au vendredi 29 novembre, étudiants et membres des écoles proposeront ainsi sur leurs campus de nombreuses actions en partenariat avec différentes associations telles que Sidaction et Aides. Le but ? Poursuivre la mobilisation et le combat contre cette maladie qui touche encore près de 40 millions de personnes à travers le monde et concernerait près de 150 000 Français !

Suivez la mobilisation sur les réseaux sociaux avec le hashtag #IONISContreLeSIDA

IONIS en veille contre le sida 2019

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Augustin Chabrillac et Anis Ladram (EPITA promo 2020) médaillés d’argent lors de l’iGEM 2019

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Augustin Chabrillac et Anis Ladram (EPITA promo 2020) médaillés d’argent lors de l’iGEM 2019

À la fin du mois d’octobre, Augustin Chabrillac et Anis Ladram (EPITA promo 2020) s’envolaient pour Boston afin de participer à la grande finale de l’iGEM, la plus grande compétition étudiante internationale dédiée à la biologie de synthèse. Membres de l’équipe iGEM IONIS qui réunissait des étudiants des quatre écoles d’ingénieurs du Groupe IONIS (l’ESME Sudria, l’IPSASup’Biotech et donc l’EPITA), les deux étudiants de 5e année ont pu se rendre au Hynes Convention Center pour présenter leur projet éco-responsable Cinergy pensé pour valoriser les mégots de cigarette à travers la fabrication d’énergie électrique. Vainqueur d’une médaille d’argent avec ses coéquipiers, Augustin fait le point sur cette expérience inoubliable.

iGEM IONIS 2019

Augustin (au second plan, à droite) et ses coéquipiers

Qu’est-ce qui a fait que tu t’es intéressé à l’iGEM ?

Augustin Chabrillac : J’ai découvert l’iGEM lors de la rentrée de l’an dernier à l’EPITA, après que le directeur Joël Courtois ait parlé avec nous de la création d’une future équipe réunissant des étudiants de différentes écoles du Groupe IONIS. J’ai trouvé intéressant de pouvoir travailler avec des personnes n’ayant pas les mêmes centres d’intérêt ni les mêmes domaines d’expertise que moi. Et je n’ai pas été déçu en rejoignant l’équipe car j’ai pu évoluer aux côtés d’étudiants spécialisés en biologie ou en électronique et ainsi découvrir beaucoup de choses. Par exemple, avant d’intégrer l’iGEM IONIS, je ne savais pas du tout ce qu’était la biologie de synthèse : avec elle, on peut pourtant tout créer !

 

Justement, à travers la biologie de synthèse, l’équipe iGEM IONIS de cette année a développé un projet se servant des mégots de cigarette pour générer de l’énergie électrique. Ce concept t’a-t-il séduit ?

En fait, je souhaitais rejoindre l’équipe avant même de connaître le projet et, quand j’ai découvert l’idée qu’elle souhaitait mettre en place, j’ai trouvé ça très intéressant ! En plus, en tant que non-fumeur, je trouve toujours dérangeant de croiser autant de mégots par terre dans les rues de Paris : j’ai donc particulièrement apprécié le fait de travailler sur un projet comme Cinergy qui intègre un aspect environnemental via le recyclage.

iGEM IONIS 2019

Quel a été ton rôle au sein de l’équipe ?

J’ai principalement participé à la création du Wiki. Ce site Internet devait référencer toutes les informations relatives à Cinergy : l’évolution du travail réalisé durant neuf mois, l’identité de nos partenaires, nos financements, la description de nos séances en laboratoires, la liste de nos activités annexes, etc. Une fois créé, le site était jugé par le jury de Boston et représentait une part importante de la notation finale du projet.

 

En parlant de Boston, comment as-tu vécu cette finale ?

À notre arrivée au Hynes Convention Center, nous nous sommes retrouvés avec près de 3 000 étudiants venus du monde entier ! Pendant une semaine, en plus de pouvoir présenter Cinergy, nous avons également pu échanger avec des équipes de différents pays et découvrir de nombreux projets innovants. En parallèle, nous avons aussi profité de notre présence pour visiter la ville en équipe et passer une excellente soirée au Consulat général de France ! Ce dernier avait organisé une réception réunissant l’ensemble des équipes françaises le 31 octobre.

iGEM IONIS 2019

Ce voyage était ton premier aux États-Unis ?

Oui. Avant cela, j’avais surtout voyagé en Europe et, pour mon semestre international à l’EPITA, en Afrique du Sud.

 

Travailler aussi longtemps avec d’autres futurs ingénieurs a-t-il fait évoluer ta manière de fonctionner ?

Oui, principalement au niveau organisationnel. Quand on se retrouve à mener un projet avec 15 personnes ayant des emplois du temps différents, cela peut vite devenir compliqué de trouver des moments pour se réunir sans une bonne organisation. Cela nécessite donc la mise en place de réunions hebdomadaires mais surtout l’implication totale de chaque membre de l’équipe !

 

Quel conseil donnerais-tu aux EPITéens qui souhaiteraient rejoindre l’équipe iGEM IONIS dans le futur ?

De se donner à fond car ils vont vivre une expérience inoubliable, sortir de leur quotidien axé sur l’informatique pour découvrir d’autres univers, s’enrichir de nouvelles connaissances et travailler en équipe durant neuf mois pour ce qui restera l’un des plus grands projets de leur scolarité.

iGEM IONIS 2019

iGEM IONIS 2019

iGEM IONIS 2019

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Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 : l’EPITA récompensée pour « Internet is a Biche ! »

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Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 : l’EPITA récompensée pour « Internet is a Biche ! »

Lancée au mois de novembre 2019 sur les réseaux sociaux, la campagne vidéo « Internet is a Biche ! » a pour but de sensibiliser le grand public aux cyber risques du quotidien et aux bons réflexes à adopter. Imaginée par les étudiants et enseignants des écoles EPITA, e-artsup et ISEG (toutes membres du Groupe IONIS) et supervisée par l’expert en protection de l’information Stéphane Calé, « Internet is a Biche ! » a également séduit les professionnels en remportant un prix lors des Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 !

Internet is a biche !

Un prix décerné par les professionnels de la cybersécurité

Remise lors d’une cérémonie organisée à l’Aéro-Club de France le lundi 9 décembre en partenariat avec le Club de la Sécurité de l’Information Français (CLUSIF), cette distinction de la catégorie « Meilleure association de l’utilisateur au dispositif de sécurité » récompense ainsi un travail collectif de plusieurs mois associant animation, communication, prévention et vulgarisation. Une approche qui a su toucher un jury composé d’une trentaine de directeurs et responsables de la sécurité des systèmes d’informations de grandes entreprises.

Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 : l’EPITA récompensée pour Internet is a Biche !

Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 : l’EPITA récompensée pour Internet is a Biche !

De gauche à droite : Marie Moin, directrice de SECURESPHERE by EPITA, Nicolas Becqueret, directeur général d’e-artsup, Joël Courtois, directeur général de l’EPITA, Esther-Laure Sellam, directrice de l’ISEG Paris et Stéphane Calé, Responsable protection de l’information chez Renault

 

Plus d’informations sur le palmarès des Cas d’OR de la Cybersécurité 2019 sur le site internet de l’événement

(Re)Découvrez la campagne « Internet is a Biche ! »

Internet is a biche !

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Bientôt un Cyber Campus français avec l’EPITA !

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Bientôt un Cyber Campus français avec l’EPITA !

Lancée par le gouvernement au mois de juillet 2019 et pilotée par Michel Van Den Berghe, directeur général d’Orange Cyberdéfense, la future création d’un Cyber Campus français peut compter sur le soutien de l’EPITA !

Cyber Campus France x EPITA

Un futur épicentre français de l’écosystème de la cybersécurité

Reconnue pour son expertise en matière de cybersécurité qu’elle transmet à ses ingénieurs comme aux professionnels à travers SECURESPHERE BY EPITA, son organisme de formation professionnelle continue, l’école s’engage ainsi à accompagner ce grand projet visant à rassembler les expertises et les ressources des principaux acteurs de la cybersécurité.

C’est ainsi que, le 28 novembre dernier, l’EPITA a pu participer à une matinée de réflexion et d’engagement aux côtés d’une vingtaine d’organisations mobilisées autour de la création du Cyber Campus, dont des grandes entreprises (Orange Cybersécurité, Thales, Atos, Capgemini…), des startups, des PME ou encore des acteurs institutionnels. Rassemblant 150 participants et annonçant la prochaine remise d’un rapport de mission au Premier ministre, cette démarche stratégique et nationale a notamment été saluée par Cédric O, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances et du ministre de l’Action et des Comptes publics, chargé du Numérique.

Cyber Campus France x EPITA

Joël Courtois, directeur général de l’EPITA (à gauche) et le journaliste Nicolas Arpagian

De nouvelles formations pour répondre aux besoins des acteurs du secteur

L’EPITA installera SECURESPHERE by EPITA dans les locaux du Cyber Campus et prévoit aussi de créer un conseil de perfectionnement regroupant les acteurs présents sur le site, afin de construire de nouvelles formations en concordance avec leurs besoins. Ces formations concerneront aussi bien les professionnels (formations courtes pour les entreprises de l’écosystème, également ouvertes aux entreprises externes) que les futurs étudiants (sous le format de nouveaux diplômes de type Bachelor en apprentissage dans différents domaines, de l’embarqué à la cybersécurité en passant par l’intelligence artificielle).

Pour en savoir plus sur le Cyber Campus, suivez l’actualité du projet sur son compte Twitter officiel

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Découvrez le IONIS Mag #42

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Découvrez le IONIS Mag #42

Le 42e IONIS Mag, le magazine du Groupe IONIS, vient de sortir et, pour le lire en ligne, rendez-vous sur la page dédiée !

 

Au sommaire de ce nouveau numéro :

 

IONIS Mag 42

 

  • Un dossier sur les dernières innovations pédagogiques des écoles
  • Un retour sur le salon Viva Technology 2019
  • La présentation d’Epitech Digital, la nouvelle école de la transformation digitale
  • Un retour sur la Project Week 2019 qui réunissait 1000 étudiants de l’ISEG, d’Epitech et d’e-artsup

 

IONIS Mag 42

 

 

Bonne lecture !

 

IONIS Mag 42

IONIS Mag 42

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Les projets de la promo 2019 – une application pour mieux consommer

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Les projets de la promo 2019 – une application pour mieux consommer

Dans le cadre des Projets de Fin d’Études (PFE), les étudiants de l’EPITA doivent également réaliser en parallèle un Projet Libre d’Innovation et de Communication (PLIC). C’est ce qu’ont décidé de faire Mickael Au, Julia Benais, Jonathan Espiard et Yoan Feijoeiro (EPITA promo 2019) en se lançant dans la création d’un prototype d’application nommée SmartPick lors de leur 4e et 5e année passée au sein de la Majeure Multimédia et Technologies de l’Information (MTI). L’occasion pour ces EPITéens d’explorer différents domaines autour d’une idée simple : permettre aux gens de sélectionner au mieux les produits correspondant à leurs modes d’alimentation. Julia nous en dit plus.

Projet Smart Pick de fin d'études - promo 2019

Yoan et Julia

Quel est le concept SmartPick ?

Julia : Il s’agit d’une application permettant à l’utilisateur de renseigner ses préférences alimentaires – c’est-à-dire le régime qu’il peut suivre, les aliments qu’ils apprécient ou non ainsi que ceux qui provoquent chez lui une intolérance – pour ensuite scanner les produits afin de savoir si ces derniers lui conviennent ou non.

 

D’où est venue l’idée ?

Ayant moi-même certaines préférences alimentaires assez particulières – je suis végétarienne et il y a également plusieurs aliments que je n’aime pas –, je cherchais depuis longtemps une application remplissant cette fonction de tri. Or, comme aucune appli existante ne proposait cela, j’ai souhaité m’y mettre. J’en ai d’abord discuté avec Arnaud Lemettre, le responsable de la Majeure MTI, pour le faire dans le cadre d’un PLIC et l’idée lui a plu. Ensuite, d’autres camarades de la promotion m’ont rejoint pour lancer ce projet.

 

Combien de temps a nécessité le développement du projet ?

Un PLIC peut généralement être développé sur les deux dernières années d’études à l’EPITA au sein de la Majeure. Certes, le projet est libre, mais il faut tout de même suivre une thématique donnée par notre responsable. En l’occurrence, notre sujet tournait autour de l’intelligence : nous devions intégrer cette notion dans de nouveaux usages. Cela nous a servi de ligne directrice pour le développement de SmartPick qui a pris quasiment un an. Toutes les trois semaines, un point d’avancement est réalisé en présence d’Arnaud Lemettre et d’un professeur ou d’un coach extérieur. Ces étapes nous permettent de mesurer l’avancée du projet et de recevoir de nombreux conseils pour l’améliorer.

 

Quel était ton rôle au sein de l’équipe ?

J’occupais la fonction de cheffe de projet et j’étais aussi en charge de la partie Android ainsi que du dashboard. En effet, nous avions conçu un tableau de bord pour l’ajout et la modification des produits. Pour autant, je n’étais pas seule sur ces segments puisque que, pour la partie Android, Mickael s’est occupé du Front-End tandis que Yoan et Jonathan ont travaillé sur le Back-End et, aussi, un peu sur le dashboard.

Projet Smart Pick de fin d'études - promo 2019

Mickael

Le dashboard, c’est une interface qui permet d’améliorer et de mettre à jour la base de données utilisée par l’application ?

Pour notre projet, nous avions utilisé une base de données open source s’appelant Open Food Facts, qui est assez connue pour ses données de produits alimentaires. Par contre, en commençant à développer le projet, nous nous sommes aperçus que certaines données pouvaient être erronées et qu’il y avait parfois du « déchet » dans cette base. D’où l’idée de créer un dashboard pour apposer un filtre sur ces données et ainsi gérer les entrées et les modifications des produits. En plus d’améliorer notre concept, ce dashboard peut très bien servir à Open Food Facts afin de mieux gérer les données de leur base.

 

Quel a été le plus gros défi avec SmartPick ?

Sans doute la classification des éléments. En effet, comme SmartPick fonctionne selon le régime et les intolérances alimentaires de l’utilisateur, il a fallu réussir à faire le lien entre un aliment et tel ou tel régime. Ce fut un travail de longue haleine car nous nous ne connaissions pas ce qui touchait au domaine de la classification. Nous avons dû apprendre le fonctionnement de ces algorithmes, mais surtout parvenir à les intégrer à notre solution. Cela a représenté une grosse part du travail, tout comme le fait de gérer et filtrer les données d’Open Food Facts.

Quel est l’intérêt de choisir la Majeure MTI quand on étudie à l’EPITA ?

Moi, ce que j’ai aimé dans cette Majeure, c’est la diversification. On touche à de nombreuses technologies et l’on se plonge aussi dans la gestion de projets, un domaine que l’on a tendance à minimiser alors que c’est très intéressant ! J’ai d’ailleurs aussi apprécié le fait de pouvoir prendre part à deux grands projets en parallèle : SmartPick et un Projet de Fin d’Études avec Entreprise (PFEE). Ce dernier s’est déroulé avec Bouygues car l’entreprise cherchait à centraliser et manipuler différentes données qu’elle pouvait récolter via la relève des compteurs. Nous avons donc repensé leur architecture pour qu’elle soit plus en phase avec l’exploitation des données puis leur avons fourni une application desktop sur Windows permettant de gérer ces données, de les visualiser au cours du temps et même de pouvoir se rendre compte de potentielles erreurs. Au final, MTI nous a apporté tout un panel de connaissances et d’expériences, aussi bien techniques qu’organisationnelles, qui nous seront très utiles pour le futur !

Les projets de la promo 2019 – une autre façon d’utiliser la réalité augmentée

Projet Smart Pick de fin d'études - promo 2019

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Mikaël Simarik (EPITA promo 2020), cofondateur de La Relève du Futur

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Mikaël Simarik (EPITA promo 2020), cofondateur de La Relève du Futur

En cofondant La Relève du Futur, Mikaël Simarik a choisi de se battre pour l’égalité des chances et la diversité dans le numérique. En effet, son association organise des formations et des stages de programmation pour les jeunes issus des quartiers populaires, en lien avec des structures publiques et privées. Une belle initiative sur laquelle revient l’étudiant actuellement en 5e année à l’EPITA.

Mikaël Simarik (EPITA promo 2020), cofondateur de La Relève du futur

Mikaël Simarik

Pourquoi avoir choisi de devenir ingénieur ? 

Mikaël Simarik : À la base, j’ai plutôt un profil business et sciences politiques. Je voulais compléter ma formation avec un diplôme d’ingénieur pour développer une certaine rigueur et de la méthodologie. L’EPITA nous donne ce côté ingénieur qui permet de résoudre des problèmes et se poser les bonnes questions. J’ai choisi cette école car je voulais créer des choses par moi-même et être totalement indépendant. Ses points forts sont les projets très concrets, qui vont au fond des choses et donnent de grosses compétences techniques. J’ai choisi la Majeure Système d’Information et Génie Logiciel (SIGL) qui offre une approche globale des problématiques. Je m’oriente vers la technique produit et le métier de Chief Technical Officer (CTO). À terme, je voudrais monter un fonds d’investissement dans des startups du milieu de l’éducation. C’est un domaine qui n’a pas encore été assez renouvelé. Certaines technologies pourraient la moderniser et la rendre plus attractive. Elle pourrait surtout contribuer à ce dont on a besoin aujourd’hui : la montée en compétences globale des citoyens.

 

Que fait La Relève du Futur, l’association que tu as cocréée ?

Le numérique est un secteur qui va encore se développer et présente de nombreuses opportunités d’emploi. Pour occuper ces postes, il n’y a pas nécessairement besoin de longues formations. Quelques mois peuvent suffire. Mais les formations sont généralement chères et inaccessibles pour de nombreux jeunes. En 2017, nous avons donc souhaité proposer des ateliers gratuits à des jeunes issus de quartiers populaires. Nous avons commencé par la découverte de la programmation, puis du développement web, de la retouche d’images, du game design… À chaque fois, nous rattachons cela à des métiers et des formations. Notre objectif est d’accompagner ces jeunes vers le supérieur et qu’ils trouvent un domaine qui leur plaît avec des débouchés.

Mikaël Simarik (EPITA promo 2020), cofondateur de La Relève du futur

Comment s’organisent ces ateliers ?

Nous avons plusieurs partenaires chez qui nous organisons ces rendez-vous. Soit à l’AGECA, un espace public numérique, situé à Paris 11e. Soit la Mairie de Paris, au travers du Carrefour des associations parisiennes, qui met à notre disposition des salles et du matériel informatique. Ces deux derniers étés, nous avons organisé des stages d’une semaine qui s’inscrivaient dans des programmes de la Préfecture de Paris à destination des jeunes qui ne peuvent pas partir en vacances. Tout au long de l’année, nos partenaires, dont l’association Olga Spitzer, nous mettent en contact avec des jeunes qu’ils connaissent et qui souhaitent suivre nos formations. Depuis notre création, nous avons accompagné près de 200 personnes.

 

Quels sont vos objectifs et vos besoins à terme ?

Très rapidement, nous souhaitons nous implanter dans une autre ville française et l’idée pourrait être de développer la structure en Europe. Nous venons d’ailleurs de remporter un appel à projets de l’Union européenne récompensant des initiatives solidaires. Pour le moment, nous avons besoin de matériel pour être plus autonomes dans nos ateliers : nous souhaitons être le plus mobiles possibles pour nous rendre au plus près des jeunes, dans des écoles ou des bibliothèques par exemple. Mais nous avons besoin d’outils professionnels car nos ateliers sont construits sur des technologies utilisées en entreprise. Nous sommes également à la recherche de partenariats avec des entreprises informatiques.

 

Suivez La Relève du Futur sur son site Internet et sur les réseaux sociaux : Facebook, Instagram, Twitter et YouTube.

Article extrait du dernier IONIS Mag

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Découvrez la nouvelle édition du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » réalisé avec des EPITéens !

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Découvrez la nouvelle édition du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » réalisé avec des EPITéens !

Le Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » des Assises de la Sécurité vient de connaître une nouvelle édition. Présenté au Pavillon Cambon Capucines (Paris 1er) le mardi 10 décembre 2019 en présence de nombreux professionnels de la sécurité informatique, cet ouvrage a été réalisé par les étudiants de la Majeure Systèmes Réseaux et Sécurité (SRS) de l’EPITA, comme l’an dernier.

Les étudiants de l'EPITA ont contribué à l'édition 2019 du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » des Assises de la Sécurité

La promotion 2020 de la Majeure SRS de l’EPITA

Souveraineté de la cybersécurité européenne, déploiement de la 5G, enjeux de la coopération technologique, avantages du Bug Bounty… L’édition 2019 du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » épluche en une trentaine de pages de nombreuses questions d’actualité en compagnie de grands acteurs du secteur, de Proofpoint à McAfee en passant par Airbus et Kaspersky. Un bilan pertinent des grandes tendances réalisé par les EPITéens SRS de la promotion 2020. Mené sous l’égide de Sébastien Bombal, responsable de la Majeure, et en partenariat avec les organisateurs des Assises de la Sécurité, ce travail a duré cinq mois et a permis aux futurs ingénieurs d’explorer de nombreux domaines.

 

Une immersion enrichissante entre experts passionnés de cybersécurité

Interview de professionnels, conception de schémas techniques, résumés de conférences et introductions sur les tendances actuelles…  Les étudiants n’ont pas eu le temps de s’ennuyer pour la rédaction de ce livre, à commencer par Arthur Vuagniaux, Mathieu Ghirlanda et Doette Bleton. Ces derniers ont non seulement eu la lourde tâche de coordonner le travail de l’ensemble de leur promotion dans le cadre du projet, mais aussi la possibilité de couvrir l’événement organisé par Les Assises de la Sécurité au mois d’octobre à Monaco. « Dès le début du projet nous nous sommes portés volontaires, explique Arthur. Notre mission a principalement consisté en de la gestion d’équipe au sein de la promo ! »

Les étudiants de l'EPITA ont contribué à l'édition 2019 du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » des Assises de la Sécurité

Mathieu, Arthur et Doette

Pour Doette, qui dans le cadre du livre a pu interviewer des représentants des entreprises Moabi et OpenCTI, le défi reposait avant tout sur le fait d’occuper un rôle inédit : « C’était principalement un travail de coordination entre les étudiants, Sébastien Bombal et, bien sûr, les Assises de la Sécurité. Il a aussi fallu distribuer les thèmes et les articles, rédiger toutes les introductions… sans oublier le suivi des rendus ! » Une expérience qui n’a fait que renforcer l’envie de ces futurs spécialistes de la sécurité comme le rappelle Mathieu : « À l’avenir, je souhaite m’orienter dans le domaine de la rétro-ingénierie, qui consiste en l’étude d’entités afin d’en comprendre leur comportement, leur fonctionnement et la manière dont elles ont été conçues. Par exemple, pour le cas d’un malware dont on ne connaît pas le code source, on cherche à étudier son comportement pour pouvoir s’en protéger ou comprendre les dégâts qu’il aurait causés ! »

Téléchargez dès à présent le Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » 2019 !

Envie d’un savoir plus sur la Majeure SRS ? Rendez-vous sur la page dédiée du site de l’EPITA !

Les étudiants de l'EPITA ont contribué à l'édition 2019 du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » des Assises de la Sécurité

Les étudiants de l'EPITA ont contribué à l'édition 2019 du Livre Blanc « Cybersécurité & Innovations » des Assises de la Sécurité

 

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Découvrez le parcours de Julien Lemoine (EPITA promo 2004), cofondateur d’Algolia

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Découvrez le parcours de Julien Lemoine (EPITA promo 2004), cofondateur d’Algolia

Surnommée le « Google français des professionnels », Algolia connaît un succès retentissant depuis sa création en 2012, avec plus de 184 millions de dollars levés et des clients aussi importants que Salesforce, Twitch, NPR, Dior ou encore Adobe. Derrière cette entreprise basée à San Francisco et spécialisée dans le secteur des moteurs de recherche intégrés aux sites web et applications mobiles, on retrouve un Ancien EPITéen : Julien Lemoine (EPITA promo 2004).

Parcours d'EPITéen : Julien Lemoine (promo 2004), cofondateur d'Algolia

« De l’EPITA, je garde un solide background technique »

Cofondateur et CTO de la structure, cet ingénieur de la Majeure Data Science et Intelligence Artificielle (SCIA) retrace sa trajectoire professionnelle en vidéo à travers ce nouvel épisode de la série Parcours d’EPITéen !

 

Envie d’aller plus loin ?

Retrouvez également l’épisode de Parcours d’EPITéen consacré à Sylvain Utard (EPITA promo 2008), vice-president of engineering d’Algolia !

Parcours d’EPITéen : rencontre avec Sylvain Utard (EPITA promo 2008), vice-president of engineering chez Algolia

 

À propos de Parcours d’EPITéen :

Parcours d’EPITéen est une série d’interviews vidéo de diplômés de l’EPITA. Ils reviennent sur leur parcours, présentent leur métier et donnent leurs conseils aux étudiants de l’école.

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À 35 ans, l’EPITA est plus que jamais tournée vers l’avenir

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À 35 ans, l’EPITA est plus que jamais tournée vers l’avenir

À la fin de l’année 2019, l’EPITA célébrait ses 35 ans d’existence. En plus d’un gala spécial rassemblant ses 30 promotions de diplômés et ses étudiants, dans l’enceinte prestigieuse des Salons Hoche (Paris 8e), l’école organisait également un autre événement pour ses relations institutionnelles sur son campus parisien en mettant à l’honneur ses équipes et, en particulier, celles et ceux qui font avancer chaque jour la recherche au sein de ses différents laboratoires.

EPITA 35 ans

C’est ainsi que le jeudi 14 novembre, l’EPITA recevait ses Anciens et partenaires pour fêter ce bel anniversaire à travers de multiples conférences abordant ses ambitions actuelles et futures en matière de cybersécurité, de robotique d’exploration, de transformation numérique, d’imagerie médicale ou encore d’intelligence artificielle.

 

De nouvelles ambitions pour le futur de l’ingénierie informatique

Une volonté de poursuivre la formation d’ingénieurs talentueux, prêts à relever de nouveaux défis technologiques et scientifiques, sur laquelle reviennent dans cette vidéo Joël Courtois et Thierry Géraud, respectivement directeur général et directeur de la recherche de l’EPITA.

Envie d’en savoir plus sur la recherche à l’EPITA ? Consultez la page dédiée !

Présentation

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Collégiennes et lycéennes, participez au stage GirlsCanCode! du 10 au 11 février 2020 !

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Collégiennes et lycéennes, participez au stage GirlsCanCode! du 10 au 11 février 2020 !

Célébrée chaque année le 11 février, la Journée internationale des femmes et des filles de science rappelle le rôle important joué par les femmes dans les domaines scientifiques et donne lieu à de nombreuses manifestations à travers le monde pour favoriser l’engouement de la gent féminine pour ces derniers. En 2020, l’EPITA rejoint le mouvement à travers son association étudiante Prologin qui organise un stage spécial GirlsCanCode! les lundi 10 et mardi 11 février de 9 h à 19 h sur son campus parisien !

Stage GirlsCanCode! du 10 au 11 février 2020 !

Créés par Prologin en 2014 et organisés chaque année, les stages GirlsCanCode! s’adressent aux collégiennes et lycéennes en leur proposant de s’initier gratuitement à la programmation informatique via des ateliers ludiques. Pour ce stage spécial Journée internationale des femmes et des filles de science, deux journées passionnantes attendront les participantes avec une introduction au langage Python et la réalisation d’un petit projet sur microcontrôleur !


Journée internationale des femmes et des filles de science : initiez-vous au numérique avec le stage GirlsCanCode!

Les lundi 10 et mardi 11 février de 9 h à 19 h  au Campus EPITA Paris-Sud
14-16 Rue Voltaire
94270 Le Kremlin-Bicêtre

Vous êtes une collégienne ou une lycéenne et vous souhaitez participer au stage GirlsCanCode! du 10 et 11 février 2020 ?
Il vous suffit de vous inscrire sur le site de GirlsCanCode!. Pour cela, il vous faudra créer un compte Prologin si vous n’en avez pas déjà un et ensuite remplir le formulaire de candidature.

L’inscription et le stage sont entièrement gratuits.
Les éventuels frais de transports et d’hébergement ne sont pas pris en charge, mais les petits-déjeuners et déjeuners sont prévus. N’hésitez pas à en parler autour de vous !

Besoin d’en savoir plus ?
Contactez l’association par email à info@prologin.org ou via sa page Facebook

Retrouvez Prologin sur son site Internet, Facebook et Twitter

 

Revivez l’édition estivale du stage 2019 :

Girls Can Code! 2019 : la passion de l’informatique au féminin

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